tag:blogger.com,1999:blog-63671226210336004852024-03-05T14:04:40.177-08:00INFOS GENERALESUn regard critique et d'analyse des faits sociaux.Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.comBlogger66125tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-58903840524402951652023-03-22T06:41:00.001-07:002023-03-24T02:12:06.212-07:00Nelsono Bukuhi partage ses secrets pour réussir une formation de Marketing Digital en ligne !<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGkoZNjdszIs21ujaWESg0dj9bRdR6fNc8oZhqXVj6VADL_9dprRHSPHzhkZErUcBXtMv0oGwODIElR7XTBeHoYHdBa0W3En33F3P6o5SmQbNi49Uk_5tY54LhUaFfteXe9eVxCb4mAHrJM7F792ukB_MN3z7PVZigFLx2LZ2jp6S1SOq88R1D-wXX/s2560/jpg_20230323_075954_0000.jpg" style="display: block; padding: 1em 0; text-align: center; "><img alt="" border="0" width="320" data-original-height="1920" data-original-width="2560" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGkoZNjdszIs21ujaWESg0dj9bRdR6fNc8oZhqXVj6VADL_9dprRHSPHzhkZErUcBXtMv0oGwODIElR7XTBeHoYHdBa0W3En33F3P6o5SmQbNi49Uk_5tY54LhUaFfteXe9eVxCb4mAHrJM7F792ukB_MN3z7PVZigFLx2LZ2jp6S1SOq88R1D-wXX/s320/jpg_20230323_075954_0000.jpg"/></a></div>
<b>Par Nelsono Bukuhi</b>
La vie est faite des surprises. Seuls les mots ne suffisent pas pour expliquer comment j'ai pu m'assortir. J'étais parmi les 100 jeunes de la ville de Goma, Lubumbashi et de Kinshasa retenus pour participer à une formation en ligne SUR LE MARKETING DIGITAL. Sous ces lignes, je vous relate comment je me suis assorti pour participer aux sessions en ligne. Vous allez découvrir mon parcours et mes secrets à l'appui.
<b> N’ai jamais abandonné</b>
"Vini, vidi, vici" disait César. Tout commence par un message sur l'appel à candidature de la formation en marketing digital qui m'a été envoyé via Messenger par un aîné. Il m'a partagé sa connexion pour soumettre ma candidature.
Un mois et demi après, je reçois un appel téléphonique de la part de Kobo Hub me demanda de jeter un coup d'œil sur ma boîte E-mail. C'est ce que j'ai fait. Alors que le message m’était transmis depuis le 07 Janvier 2022, je reçois le coup de fil au téléphone le 01 Février 2022. Je constate qu'une autre session était prévu le 29 Janvier 2022. Je m'oblige désormais de vérifier chaque jour mes mails. Le 29 Janvier 2022, j’avais un autre mail non lu avec comme objet : documents administratifs.
Comme je n'étais pas souvent en ligne, j'ai réussi un autre appel de Kobo Hub le 01 Février 2022 pour demander de répondre urgemment au mail avant 16h. Pourquoi j'ai raté de mails ? J'avais cédé mon smartphone, j'étais devenu rare sur les réseaux sociaux. J'ai utilisé les smartphones d'autres personnes pour répondre aux mails après les appels téléphoniques. J'ai signé les documents administratifs et je les ai envoyés, comme je ne pouvais rester en ligne, j'ai disparu sur internet !
Avoir une motivation est la clef de toute chose et il faut toujours se fixer d'objectifs à atteindre. Les mois passent vite, ma boîte mail ne cesse de recevoir les messages de Kobo Hub et du coach formateur de Resomatik. Je me connecté irrégulièrement sur les téléphones de voisins et de familiers pour rester en actualité sur le déroulement de la formation. C'est ainsi que j'encaisse de retard sur beaucoup de modules à suivre au point que les formateurs m'ont donné un délai de grâce pour me rattraper au cas contraire j'allais être disqualifié et retiré de la plateforme de formation. Dans mon coin j'ai expliqué ma situation aux formateurs. Heureusement, ils ne m'ont pas retiré !
Alors que dans chaque ville, il y'avait un hub disposant de toutes les conditions nécessaires pour bien suivre la formation, à Goma, je ne connaissais pas l'adresse de ce merveilleux espace de travail. Je reçois un appel téléphonique du responsable du Hub en ville de Goma à la fin du mois d'Avril 2022. Il me fait l'adresse précise et quelques semaines plus tard je m'y présenté pour suivre parfaitement la formation en marketing digital. C'est ainsi que j'ai débuté la formation dans la deuxième quinzaine du mois de Mai.
Le programme en soi était de 6 mois plus 3 mois de stage, certes le début n’a pas été facile vu qu’on n’avait pas participé à d’autres séances du début. Il me fallait une adaptation de ma manière pour s’en sortir à deux mois et quelques semaines. J’ai réussie à me rattraper et être à la page. La motivation et l’objectivité m’ont permis d’y arriver.
Tenir fort, suivez de près l’évolution de la situation sans se perdre d’objectif. Comme j’aime le dire à mes proches « il n’y a rien sans sacrifice ». Soyez motivé pour arriver au bout et tu serviras comme modèle à ceux qui veulent abandonnées. S’en parviens toujours par arriver quel que soit la durée soit persévérante.
<b>Mes secrets tirés de la formation</b>
Avoir confiance en soi avant d’amorcer une activité vitale. La formation en ligne n’est pas du reste. Je place quelques jalons. Ils sont utiles dans une formation en ligne. Il faut s’y adapter, restons optimistes. Enrichir si possible, ce pourquoi, je n’ai pas su numérotés ces quelques secrets.
<b> Ayez le goût et l’envie d’oser ;</b>
« L’Homme se découvre quand il se mesure avec l’obstacle » disait Antoine de Saint-Exupéry. N’ayez pas peur de démarrer, d’oser. Bannir de son dictionnaire le mot échec sauf les erreurs. Elles y seront toujours, il faut les surmontent.
<b> Etre objectif et motivé ;</b>
Les premiers préalables pour se lancer dans une formation en ligne. Ne divague pas dans ta vision ou du but. Savoir répondre à la question pourquoi ? Si vous n’avez pas la réponse cherchée une. Juste au début, ne termine pas sans en avoir.
<b> Etre disponible ;</b>
Ça dépendra des modalités de votre formation en ligne ou de sa nature. Votre présence dans toutes les activités relatives à la formation serait souhaitée. Pour avoir les informations à temps réelles.
<b> Avoir des outils (ordinateur et téléphone) ; </b>
Pour notre formation les outils étaient disponibles. Si vous n’avez pas des outils adaptés. Vous aurez des difficultés. Il faut savoir surmonter ces difficultés. Pour atteindre l’objectif selon la motivation. Ces outils doivent être capables de répondre à vos besoins (Smartphone, Personnel Computer…).
<b> Avoir un notebook ; </b>
Un carnet de bord ou un stick notes sont indispensable. Pour une prise des notes essentielles. Pour les tutoriels sur YouTube, il est préférable de s’abonner à la chaine qui l’offre. Afin de le retrouver rapidement plus tard.
<b>Se fixer un calendrier de travail ;</b>
Même si le calendrier est mémorisé par cœur ayez au moins ça. Tu sais quand commencer et avoir une préférence sur où tu veux finir ta journée, ta semaine voir ton mois… avoir une idée sur son usage de temps par rapport au niveau de travail à accomplir dans ce délai.
<b> La recherche continue ;</b>
Une formation en ligne vous demande d’être chercheur comme à l’université. Ne se fié pas trop aux notes partagées au cours, comme si, c’étaient les saintes écritures qui sont constantes dans le temps.
<b> La curiosité de demander ;</b>
Vous ne comprenez pas quelque chose. Ayez la culture de demander. Seul on a de limite, il faut l’admettre. Vous avez des coachs, des assistants et des camarades… surmontez son ego. Vous êtes bloqué demande l’assistance ou l’aide. Etre dérangeur dans le positif.
Savoir tiré profit ;
Se lancé en visant un intérêt qui peut être de différente nature. S’accroché à quelque chose qui attire ton attention. Monté des stratégies pour matérialiser et gagner. Acquérir un ajout à la fin de la formation. Mise en œuvre.
<b> Tisser des relations solide ;</b>
La vie c’est un combat de tout le jour d’où les faibles s’éliminent. Une relation virtuelle est bénéfique car vous partagez les mêmes intérêts. Des nouvelles connaissances, des nouvelles opportunités. Le social est capital dans la vie humaine.
<b> Se faire ignorant ;</b>
« Ce que je sais et que je ne sais rien » disait Socrate. Il y a un maitre ou coach et un apprenant ou un apprenti. Si vous avez plus des connaissances, vous ne prendrez pas part à la formation. Le respect des consignes c’est un atout pour apprendre.
<b> Le retenu ou la modestie ; </b>
N’ai pas marié vos idées originales directement à la pratique. Ça peut vous ralentir dans l’apprentissage en ligne. Quand vous avez un chronogramme court. Ça dépend aussi de votre niveau de progression. Ton objectif s’assigné et ta détermination.
<b> Etre à la page ;</b>
Si la formation est chronométrée. Commence à temps pour n’ai pas être en retard. Ni travaillé sous pression à cause du retard. Tu auras le temps mort si tu es en ordre. C’est un bon temps de penser à ces projets en cours de conception.
<b> Avoir une ressource financière supplémentaire ; </b>
Les ressources financières pour la cause sont toujours indispensables. Au Hub il y a une connexion. Pour la connexion ne soyez pas trop dépendant. Subvenir à ces autres dépenses relatives à la formation. Si elle n’est pas entièrement ou partiellement financé.
<b> Ayez le temps de réviser ces notes ;</b>
Efforcez-toi de relire tes notes. Si possibilité il y en a, gardes-les, imprimés. La finalisation d’un chapitre ou un module ne signifie pas la fin totale ou la connaissance totale.
<b> Passer à la matérialisation ou la pratique ;</b>
Une phase d’adaptation de tes idées à la pratique. Il n’y a pas un chronogramme c’est fini. Pas des coach, assistants et camarades ici tu as assez de temps pour mettre en œuvre tes idées. Vous avez tout le temps mais ne le gaspille pas. C’est un denrée rare et précieux.
Ils ne sont pas des secrets magiques et non miracles. C’était un long parcours de formation sur le marketing digital. J’ai résumé mes expériences sur ma réussite à une formation en ligne avec Kobo hub. N’abandonne jamais, poursuit ton ambition, tel est le chemin de la réussite vitale.
Par Nelsono Bukuhi
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-797617352030258742019-08-26T05:03:00.000-07:002019-08-26T05:03:19.038-07:00RDC : Edito ; Un gouvernement des inconnus<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhvCTPfSMQRhw-Z87Tpx3IBT82sy7EG5B1WwIROQk6XGNnPW5BFoLXKge6ZGTnJgd1yBysH4tpBZco4mcU86KWYk_ybidPjl7NXYv_yC3ALpZVVm-yLNUa09FMUWKFtFNoFx03Be37CaU/s1600/IMG-20190819-WA0038.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1080" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhvCTPfSMQRhw-Z87Tpx3IBT82sy7EG5B1WwIROQk6XGNnPW5BFoLXKge6ZGTnJgd1yBysH4tpBZco4mcU86KWYk_ybidPjl7NXYv_yC3ALpZVVm-yLNUa09FMUWKFtFNoFx03Be37CaU/s320/IMG-20190819-WA0038.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le Président Fatshi et son 1er Ministre Ilunga</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 107%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">A l’aube
de ce 26 aout, la République Démocratique du Congo a connu les noms composant
le tout premier gouvernement<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sous le
règne du président Félix Tshisekedi. Cela intervient sept mois après un long
chemin de croix. En tout il est composé de 66 membres, normal pour un pays
continent, envoi de développement et ayant connu sa toute première alternance
au sommet de l’Etat. Une fois depuis son histoire le gouvernement connait des
noms non encore usuels dans la sphère politique Congolais comme c’était le cas
sous le règne de Joseph Kabila, alors sénateur à vie.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 107%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Ce
gouvernement serait-il à mesure de se mettre dans la peau du programme du
président Félix ? Oui pour certains et encore Non pour d’autres malgré la
coalition FCC (Front Commun pour le Congo) et Cash (Cap pour le Changement) car
durant les tractations lors de la formation de celui-ci on n’a pas cessé de
voir l’ancien président en entretien avec Félix. Et selon les indiscrétions, la
veille de la nomination ils se sont vus… Chose qui empire d’avantages de doute
au sein du public qui espèrent à un changement sous Félix. Point n’est plus
besoin de revenir sur leurs noms car on risquerait d’observer<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à des remaniements si une fois un ministre n’accompli
pas la volonté du Chef de l’Etat, comme nous l’observons ce dernier temps en France.
Donc, aux nouveaux ministres, le travail s’annonce dur compte tenu <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>des besoins et des ententes de la population
congolaise longtemps souffert et d’autres meurtries par des guerres. Dans ce
gouvernement il n’y a que des noms inconnus mais aussi de grand nom absent de l’ancien
gouvernement. Peut-on anticiper de dire qu’une autre histoire s’écrie en République
Démocratique du Congo ? Un cap vers un changement comme l’indique le nom
de la coalition qui a porté Félix Tshisekedi au pouvoir ? Wait and see,
disent les Anglais…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 107%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Dorénavant,
nos sincères félicitations et plein succès dans l’accomplissement de leurs
taches aux nouveaux ministres et vice-ministres et surtout ceux de la province
du Nord-Kivu afin que ceux-ci viennent <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>apporter de changement dans le quotidien du <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>congolais. Hélas ! Le peuple vous voit
chers ministres et vice-ministres !<o:p></o:p></span></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-85421482370098010212019-01-21T01:13:00.000-08:002019-01-21T01:13:07.954-08:00Edito ; RDC : Une longue marche, prend forme<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8OtwszwgJypmXC15nIhlo3GUFb4Vjlw1dq_oPdkHNt2epTscG_uEzOvewdWJgLy0GZuY1EmTn6pynzcn7ZLeLnoLXCAzdai259FHWQQVlfnEdNIBDYsiT4he_uOt87DlrmWFYpK-65mg/s1600/Dvk26rsW0AEq4eL.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8OtwszwgJypmXC15nIhlo3GUFb4Vjlw1dq_oPdkHNt2epTscG_uEzOvewdWJgLy0GZuY1EmTn6pynzcn7ZLeLnoLXCAzdai259FHWQQVlfnEdNIBDYsiT4he_uOt87DlrmWFYpK-65mg/s320/Dvk26rsW0AEq4eL.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Félix Tshisekedi, président de la RDCongo</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Ouf !
Le processus a été incroyablement long, couteux, parfois chaotique, marqué par
le doute et les rebondissements divers mais il a finalement abouti sous la
patience du peuple congolais qui attend l’amélioration des conditions sociaux-économiques.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">A Kinshasa,
la Cour constitutionnelle n’a tenue aucun compte de la recommandation émanant
de plusieurs pays membres de l’Union africaine, qui avaient souhaité que soit « suspendue »
la proclamation des résultats finaux des élections du 30 décembre dernier. Pourtant
<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dans la nuit de samedi à dimanche, les
cinq juges ont rendus l’arrêt. Rejetant le recours déposé par Martin Fayulu,
ils ont confirmé que Félix Tshisekedi ayant obtenu 38% des voix, était bien le
vainqueur du scrutin et qu’il est donc le futur président de la République
Démocratique du Congo. A 55 ans, le fils du feu opposant Etienne Tshisekedi,
décédé voici deux ans, réalise le rêve de son père. Il mettra en œuvre la première
transmission pacifique du pouvoir depuis l’indépendance du pays en 1960. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Il l’obtient la satisfaction sur le principe
de l’alternance de l’accession d’un opposant à la présidence, les Congolais
auraient ainsi accepté l’élection de Félix Tshisekedi, sans se mobiliser de
plus pour Martin Fayulu. Ce dernier n’était pas à mesure de défier les
stratagèmes de Joseph Kabila, président sortant, alors que prétendu favori. Il était
aussi opposé aux élections et à la machine à voter, sans toutefois être soutenu
par un parti politique bien implanté. Appuyé par ses sponsors étrangers, il
avait surtout symbolisé la radicalité de l’opposition au système de Kabila.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">D’aucuns
présentent d’ors et déjà Félix Tshisekedi comme l’otage de Joseph Kabila,
sénateur à vie, à la tête d’une coalition politique qui dominera l’Assemblée
nationale. Cette hypothèse n’est évidemment pas à écarter mais tous ceux qui n’avaient
pas vu Félix arriver doivent se souvenir que la tortue, sous sa carapace, sait
elle aussi où elle veut aller et que la cohabitation peut être le meilleur
moyen de conjurer la guerre. S’il n’as pas d’expérience directe du pouvoir,
Félix fut en tout cas été un témoin privilégié du combat de son père, de son
travail mais aussi de ses foucades et de ses échecs.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Calme,
posé, doté d’un<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>solide bon sens et d’un
parlé clair, le fils ainé en impose par sa carrure et, à plusieurs reprises
durant la campagne comme le jour des élections, nous l’avons vu tenir des
propos empreints de modération, qu’il s’agisse de la machine à voter ou du
report momentané du scrutin. Alors que le lièvre Fayulu courait vite, parlait
beaucoup et soulevait les foules à travers le pays, Félix, en compagnie de
Vital Kamerhe son directeur de campagne, efficace et expérimenté, enchaînait
les meetings sans être autrement inquiété, manifestant une inébranlable
confiance en soi. Dans les cénacles certes, on se gausse encore du manque de diplômes
de Félix, considérant que cette fragilité pourrait affaiblir sa position
politique, même si les certificats attestant de son expérience professionnelle,
entre autres à la Poste sont eux bien réels, on souligne son absence d’emprise
sur les services de sécurité, sur l’armée et la police, sans parler d’une
possible ignorance des grands enjeux économiques et du secteur des Finances. Cependant,
sur le long terme, le véritable défi est ailleurs. Un seul point a fait l’unanimité
des électeurs, c’est l’espoir d’un changement. L’exigence d’un pays plus juste,
plus beau qu’avant, plus social, moins miné par l’arrogance et la corruption,
moins menacé par la violence. Un pays où la diaspora pourra revenir, un pays
qui sera envié par ses voisins où les enfants pourront grandir en paix sans être
inquiet et où tout le monde, enfin, pourra profiter des ressources et préparer
une vie meilleure. C’est à cette aune là que sera jugé le fils d’Etienne Tshisekedi.
Pas le qualifié sur ses 100 jours au pouvoir.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-63086814044235787132018-12-04T08:58:00.003-08:002018-12-06T09:14:21.225-08:00Une fois élu, le CACH priorise la stabilisation du Nord-Kivu<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Les deux leaders <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Félix et Vital du cap pour le changement
« CACH » ont foulés leur pied dans la ville de Goma ce mardi 04
décembre. Une ville choisie afin de débuter leur campagne électorale signe de
se préoccuper des souffrances de la population de cette partie du pays
longtemps meurtrie. Devant une foule curieuse, ils ont donné les retombés des
accords de Genève dont ils se sont retirés avant de donner leur programme une
fois élu. <o:p></o:p></span></b></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNXwuZYs3beWBXpVftRIHAMzoHRCl2BSwmxdUV3Dk-08OOyWM-F2OtSX2-AFqcXBLf7AQ6jN1KauF8Wg2jG-QlDKPKdCz8kAek6UAAp1B_GbQnJT3wA2jFVPyrcUrEDSmbKeIuoWHoGXI/s1600/IMG-20181204-WA0012.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="810" data-original-width="1080" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNXwuZYs3beWBXpVftRIHAMzoHRCl2BSwmxdUV3Dk-08OOyWM-F2OtSX2-AFqcXBLf7AQ6jN1KauF8Wg2jG-QlDKPKdCz8kAek6UAAp1B_GbQnJT3wA2jFVPyrcUrEDSmbKeIuoWHoGXI/s320/IMG-20181204-WA0012.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">FatshiVit à Goma</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;"><br /></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">C’est
vers 13h, heure de Goma que l’avion qui porte ses deux leaders de l’opposition
atterrit sur le tarmac de l’aéroport international de Goma. Là leurs militants sont
au rendez-vous pour les accueillir alors qu’il pleuvine. Mais malgré la pluie
ses militants sont restés fidèles au rendez-vous. Une fois sortie de l’avion
une caravane motorisées s’en ai suivi avec comme <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>point de chute le stade Afia où doit se tenir
le meeting et le lancement officiel de la campagne au Nord-Kivu. Une fois au
stade, Vital Kamerhe porte parole de la campagne de Félix, toujours dans <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>son style en s’adressant <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>aux gens a commencé par une animation comme
s’il se trouvait dans une cérémonie de mariage. Mais a-t-il ajouté qu’ils sont
venu commencer leur campagne à l’Est parce qu’ils connaissent ce que traverse
la population de l’Est et surtout celle de la ville de Beni où l’on tue les
gens comme pas possible. Une façon pour eux de participer à cette souffrance.
Pourtant on peut y voir une manière d’avoir l’adhésion de cette population.
Étant donné qu’aux deux prochaines élections passées, Kamhere a lui seul
remplissait ce stade par une foule immense mais avec les deux partis, c’est-à-dire
l’UDPS et l’UNC la foule n’était pas au rendez-vous.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Pourquoi alors ce geste de la
population ? Ce geste s’explique par la maturité politique de la
population. Mais une chose à signaler ce que les deux leaders ne se sont pas
vexer dans les injures comme l’a fait la coordination provinciale du FCC (Front
Commun pour le Congo) lors de son meeting de lancement de la campagne en
province le mercredi 28 novembre dernier. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Ainsi,
Kamerhe le président de l’UNC et directeur de campagne de Fatshi a commencé à
appeler les partisans à un esprit patriotique en ce terme : « Chers
compatriote si je commence souvent mes campagnes électorales ici à Goma c’est
parce que j’aime cette ville, parce que je connais les souffrances de Goma et
du Grand Nord. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Et ce que nous voulons
terminer en premier lieu c’est l’insécurité et instaurer dans un premier temps
notre quartier général au Grand Nord car la population meurt <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>comme des animaux ». Et pour rassurer ses
militants il a d’abord narré l’histoire de ce qui s’est passé à Genève lors de
la réunion des opposants où ils devront se chercher un candidat commun mais
divisé à ce point. Selon lui ce qu’il a dit c’est cela la vérité. Ce désaccord
les a conduit à retirer leurs signatures et aller se rallier à Nairobi où ils
ont fait sortit une plate forme le ‘Camp du
Changement’’ « CACH ».<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Par
ailleurs prenant la parole, Félix<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>candidat à la magistrature suprême du CACH à estimer qu’ils seront
toujours à l’écoute du peuple. Et leur priorité sera la paix et la sécurité au
Nord-Kivu. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Toute ces atrocités que
nous voyons à Beni, tous ses massacres nous allons les éradiquer. Nous irons
voir nos voisins et nous essayerons de trouver un terrain d’attente car <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>une vie de congolais qui s’en va c’est
trop… »</i> a-t-il ainsi insisté d’une voix rythmée et en douceur.</span><br />
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Un programme pour la défense de la
patrie<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Une
fois élu et ayant renfloué les richesses de l’Etat, ce candidat dit qu’il est à
mesure de créer un service à la patrie, c’est-à-dire créer de centre de
réinsertion ou de spécialisation des jeunes une fois terminer les études
secondaires dans divers domaines de la vie pour un service civil. Cela les
permettra à défendre leur patrie et à l’aimer. Concernant la région, Félix ne
veut pas des conflits au sein de ces derniers, sur ce, il trouvera un terrain
d’attente pour vivre en paix avec tout les voisins. Et aux jeunes d’offrir des
business pour une autonomisation. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Pour
concrétiser ce projet, il faut la réconciliation nationale, a-t-il rassuré.
Pour autant Félix humourise en fustigeant le comportement de certains Congolais
qui se battent parce qu’ils ne sont pas de la même tribu ou parce qu’ils ne
parlent pas le même dialecte. Lui, il doit se battre pour cela car tous nous
sommes de la même patrie qui est le Congo, insiste-t-il. Tout en voulant
valoriser les métiers des policiers et des soldats. Aussi prendre en charge les
enfants orphelins de soldats et leurs enfants orphelins. Tout cela passera par
la réhabilitation de l’administration…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Un
programme qui<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>parait convainquant mais
qui plane encore des doutes pour sa matérialisation. Cette alliance vécue
aujourd’hui en ville de Goma est une alliance de l’expérience et du combat du
peuple. De l’expérience car Kamerhe fut le meilleur président de l’assemblée
nationale du pays plébiscité par les députés et du combat car le peuple gagne
toujours.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-69097286684181583572018-11-13T00:56:00.002-08:002018-11-13T00:56:33.404-08:00Editorial : L’opposition à nue<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEglzxKe-MwUE7qBBBTpg7PMV_18vIDl_50sBfkm67TDm2SxonoUcOepM1k3Bqr8f2TZfp0FnU6E6HXVhmv-bEUGqQUT8JVT_CPnkxCAHy9O4bQNoPV3f1eceqolJvS2xokHlLPr42nKep8/s1600/IMG_20180810_191017.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="1200" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEglzxKe-MwUE7qBBBTpg7PMV_18vIDl_50sBfkm67TDm2SxonoUcOepM1k3Bqr8f2TZfp0FnU6E6HXVhmv-bEUGqQUT8JVT_CPnkxCAHy9O4bQNoPV3f1eceqolJvS2xokHlLPr42nKep8/s320/IMG_20180810_191017.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Vue sur les opposants congolais, UDPS,UNC et MLC</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">Depuis la nuit de
temps l’opposition congolaise se montre unit médiatiquement. Mais sur la scène
politique cela tourne à rond. La réalité vient d’être mise en nue après le
refus de certains opposants à soutenir leur candidature commune. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">En 2015 où on a vu
commencé les pressions contre le maintient au pouvoir de Joseph Kabila. L’opposition
ne cesse de pousser ses militants dans la rue pour lui refuser un troisième
penalty comme elle a souvent l’habitude de le prôner. A l’allure où vont les
choses, cette opposition n’est pas soudée. Tout simplement parce que chacun
veut être publicité, chacun veut être le cacique des autres. Ce sont les intérêts
privés qui sont mis en avant au détriment de l’intérêt suprême de la nation. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Au lendemain des accords de la Saint Sylvestre
qui constitue même l’épicentre pour faire arriver le pays aux élections
apaisées et crédibles, ces derniers auraient été boycottés par le pouvoir en
place sur certains points car ayant remarqué que dans <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>cette opposition chacun chercher à avoir son
positionnement en intégrant le gouvernement.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">Alors que le doute
planait sur la représentation de Kabila pour un troisième mandat, l’opposition
congolaise restée dans les discours médiatiques. Une fois le dauphin de la
majorité sortie, c’est fut un ouf de soulagement du coté de l’opposition. Mais qu’en
est-il de leur dauphin ? La fumée blanche est devenue noire<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ce 12 novembre après le refus de certains
opposants à soutenir leur candidat commun alors que <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>le commun de mortel l’attendait à bras ouverts.
Que s’est-il réellement passé ? Rien du tout. Juste un désaccord de l’opposition
à faire sortir un candidat commun. Pour autant, ce candidat devrait au moins
selon la géopolitique de la RD Congo avoir une majorité au sein de la
population congolaise. Le choix est tombé sur Martin Fayulu, un opposant contre
la machine à voter qu’à déjà imposer le pouvoir en place. Pourtant ce choix est
contesté par ces mêmes opposants au<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>nom
des intérêts privés dont Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe. Pour cause leurs
militants ne les ont pas envoyés pour aller signer cet accord avec ce candidat.
En effet, compte tenu du mode de scrutin en RD Congo et de la machine à voter,
automatiquement avec ce refus de certains opposants à soutenir leur candidature
commune, le candidat commun du FCC E.Shadary est élu président. Et cinq ans de
plus l’opposition reste encore dans le débat médiatique…<o:p></o:p></span></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-67754475580211902572018-08-22T05:16:00.001-07:002018-08-22T05:16:31.076-07:00Pédophilie : Même le pape aurait tenté innocenter un prêtre pédophile<br />
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDMO55jlVDu0Ab1IxQsW_bFd3q1vjukvVOhucDWPZlzIMmY39J-Mj4L49mfkyXiAVhW5pC6p-mxKn4aIlgoDU3Oe2ofzLMLwqpvtR5Ri_XjVfkdDgwlwcIA7dPc30NpBl6YtjUw2XFhvM/s1600/R%25C3%25A9union-pr%25C3%25A9-synodale-10.png" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="806" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDMO55jlVDu0Ab1IxQsW_bFd3q1vjukvVOhucDWPZlzIMmY39J-Mj4L49mfkyXiAVhW5pC6p-mxKn4aIlgoDU3Oe2ofzLMLwqpvtR5Ri_XjVfkdDgwlwcIA7dPc30NpBl6YtjUw2XFhvM/s320/R%25C3%25A9union-pr%25C3%25A9-synodale-10.png" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"> Le pape et les cardinaux préparation du synode.Ph tiers</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal">
La pédophilie est une pratique ancienne et secrète dans
l’église catholique romaine. Le degré se diffère selon le continent. Par
exemple, en occident les tribunaux sont saisis directement par les victimes de
ses actes. Par ailleurs en Afrique cela se vit dans un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« silence de Dieu »</i>. Ce qu’on peut qualifier du poids du
silence. Et c’est souvent en Afrique que plusieurs prêtres qui auraient commis
ses actes sont renvoyés. Une façon de les éloigner pour ne pas <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>subir les préjudices. Mais pour le moment, les
choses ont changées. Même le pape ne sait pas à quel saint se vouer. Mais il ne
peut pas lâcher ses confrères. Chose que les victimes de ses actes pédophiles n’admirent
pas. Ces derniers pensent que le pape est aussi complice. Le fait récent, est
le rapport sur 301 prêtres dans six diocèses de Pennsylvanie où 140 théologiens,
éducateurs et dirigeants laïcs appellent plus de 420 évêques états-uniens à
remettre leur démission au pape. En Chili aussi les évêques ont démissionnés à
cause de ce même fait. L’église tangue en ce jour avec des cas de pédophilie
qui gagne du terrain. Ayant constaté cela, après deux jours de publication de
ce rapport sur les abus sexuels, le Saint siège a vite réagi en condamnant sans
équivoque ses actes antérieures à 1990, exprimant ainsi sa douleur et sa honte.
Mais trouver une solution durable à ce sujet serait une utopie car ce genre d’abus
sexuels date depuis des décennies dans l’église catholique. </div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Des zones d’ombres<o:p></o:p></b></div>
<div class="MsoNormal">
Pourtant dans un documentaire de Cash Investigation <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">« Pédophilie dans l’église : Le
poids du silence »</b>, une zone d’ombre dans l’église catholique est
remarquée. Dans ce documentaire tout commence par la ville de Lyon, en France. Là
c’est le P. Prenat accusé d’avoir agressé plus de septante enfants. Au cœur du
scandale le Cardinal Barbarin alors évêques de Lyon ayant pris connaissance du
fait, il n’a pas fait aucun signe à ses autorités. Mais les faits sont
prescrits, le cardinal ne sera pas poursuivis. Face au silence du Cardinal
Barbarin il ya la parole des victimes. Ceux-ci se réunissent dans une association
dénommée la <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">« parole libérée »</b>
avec comme site web : <a href="http://www.laparoleliberee.fr/">www.laparoleliberee.fr</a>.
Mêmes aux Etats-Unis ils se réunissent en association qu’on appelle le SNAP. En
ce jour ce dernier est devenu international. Dans ce documentaire, des témoignages
poignants des victimes sur les abus sexuels. Les victimes se comptent par
dizaine des milliers. Comment un prêtre ayant commis ce genre d’acte peut-il s’évader
sans que l’église ne le sache ? Selon certains spécialistes, il est connu
que l’église catholique à déjà mis en place un système d’exfiltration des prêtres
accusés de la pédophilie. Ce système est dans l’ADN de la religion catholique
romaine. Le regard peut se tourner là où se décident les lois de l’église et là
où se prennent des sanctions quand il y a des cas d’abus sexuels. Mais au cœur même
du Vatican des hauts responsables aurait couvert des prêtres accusés de
pédophilie. Même dans le C9 (conseil consultatif du pape) il ya quatre
cardinaux (Muller, Pell, Francesco Erazuriz et Oscario) qui sont accusés d’avoir
couvert les actes d’abus sexuels sur les <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>mineurs mais ceux-ci <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>occupent toujours des postes stratégiques au
sein du Vatican. Le seul à pouvoir sanctionner ses cardinaux est le pape. Alors
sera-t-il à la hauteur au moment où encore la pédophilie tourmente l’église ?
Pourquoi est-ce n’as-t-il pas agit fermement. Est-ce parce que lui aussi est
très critiquer dans son<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pays natal !
L’argentine. Lorsqu’il était archevêque de Buenos Aires, il aurait tenté d’innocenter
un prêtre, le P.Grassi, jugé pour pédophile. Pour autant dans son livre « d’entretien »
à la page 64 il aborde la question des prêtres pédophiles, il écrit : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Cela n’est jamais arrivé dans mon
diocèse »</i>, parole de Saint Père. Est-ce une stricte vérité. De là je
comprends ce que disait le pape Jean-Paul II, de vénéré mémoire, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>dans son encyclique « Fides et Rartio »
en disant : « C’est dans l’Homme intérieur qu’habite la vérité ».
Selon les victimes qui prouvent que c’est un mensonge car tous auraient tenté
voir le cardinal Bergoglio aujourd’hui pape François mais en vain. En 2009, le P.
Grassi dont le pape aurait tenté innocenté il a été en prison pour neuf ans. C’est
une affaire sensible de l’église romaine catholique jusqu’aujourd’hui. Cette affaire
avait connu aussi une contre enquêtes commandées par le pape François. Et de
surcroit lors de son procès, le P.Grassi aurait dit que « le pape ne peut
lui laisser tomber ». De ce fait, jusqu’à présent le pape ne s’est jamais
prononcé publiquement sur le cas Grassi. Comment alors l’église catholique peut
sortir de ce silence coupable ? </div>
<div class="MsoNormal">
Pour certains spécialistes du Vatican et les sociologues des
religions pour établir un diagnostique, il faut être clair sur le phénomène car
on peut avoir des discours du changement mais on prend souvent une distance
institutionnelle. C’est-à-dire la difficulté de l’église catholique à établir
ce diagnostique. Le culte du secret prévaut à ce niveau. Selon eux, toucher à
ceci c’est toucher à la fondation de cette église, à sa structure…en fait il
faut savoir que depuis mille neuf cent quatre vingt neuf, le Vatican fonctionne
comme ça <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>et ce n’est pas aujourd’hui qu’on
peut avoir le changement illico même si le pape à adresser une lettre aux peuple
de Dieu dont la première phrase est tirée de la première lettre aux
Corinthiens (1Cor 12, 26) : « Si un membre souffre, tous les membres
souffrent avec lui ».</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-52279190607495584112018-08-22T01:43:00.000-07:002018-08-22T01:43:01.301-07:00Melania Trump en Afrique : pour sauver des vies des enfants africains ou pour une malédiction ?<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9s8t5coznQ7spWmGW4Evuj-AzuYBjodP7SDLRbC1-uVFRhamTXNKkRCE851ljROeRVLmFq3Lo2Wvjs9wrcs1SdaPBcXdc32xhEp-VedEN_fA3EYEe8nkP3i701dUpNMV3WrmYxhd3wqA/s1600/melania+T.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="900" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9s8t5coznQ7spWmGW4Evuj-AzuYBjodP7SDLRbC1-uVFRhamTXNKkRCE851ljROeRVLmFq3Lo2Wvjs9wrcs1SdaPBcXdc32xhEp-VedEN_fA3EYEe8nkP3i701dUpNMV3WrmYxhd3wqA/s320/melania+T.jpeg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Melania Trump/Photo tiers</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Melania
Trump, « la first lady » des Etats-Unis d’Amérique a déclarée ce
lundi 20 aout qu’elle va se rendre en Afrique. Avec comme objectif <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« mettre en lumière le travail
humanitaire et les projets de développement réussis »</i>. Est-ce son
rôle ? Est-elle devenue une donatrice du premier rang dans le monde
humanitaire ? Ces genres des questions sont un peu difficile à répondre
car le poids de la diplomatie ou la diplomatie de coulisse en dit long. On
pourrait croire en avance qu’elle aurait eu les injonctions de son mari Donald
Trump, président actuel des USA qui, lui fustige le comportement des autorités
africaines suite à leur gestion car selon ce dernier il est impossible que
certains président soient riches et que leur population meurent de faim et les
qualifier de « pays de merde ». Jusqu’à présent les pays dans lequel
elle se rentra ne sont pas encore connus.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Mais
son arrivée sera-t-elle un ouf de soulagement à l’égard de cette crise
humanitaire qui se vit départ certains pays du continent ? A mon avis, je
dirai, neni ! Car tout simplement une réponse humanitaire se prépare.
Malgré qu’elle puisse avoir des moyens financiers ou nouer des partenariats
avec des organisations donatrices en la matière pour faire épaule à cette
population, elle risque d’être déçue.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">J’ai
comme l’impression que malgré son assurance de mettre en lumière le travail
humanitaire et les projets de développement réussis, elle se comporte comme
connaitre le contexte humanitaire africain pourtant dit-elle dans un communiqué
qu’elle ne connaît pas encore le continent africain.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Et
de dire avec conviction que ce voyage sera son premier en Afrique depuis la
prise de fonction de son mari. Elle pense s’instruire sur les questions des
enfants sur le continent. Mais elle risque aussi de se limiter dans les grandes
villes et ne pas arriver dans le bourg où on peut voir toute catégorie d’enfants.
Il ne suffit pas aussi de contacter l’UNICEF ou une autre organisation
s’occupant des enfants mais je la suggère à aller vers les confins des pays
qu’elle estime être en difficulté en ce jour…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Sauver
des vies des enfants africains sera une réalité une fois les natifs de ce
continent peuvent s’impliquer. Certains étrangers peuvent le faire en voulant
sauvegarder leurs intérêts privés. En Afrique subsaharienne nous avons connus
des cas. Le plus récent est celui de Nikki Haley, l’ambassadrice des USA aux nations
unies qui, en arrivant en ville de Goma, elle se rend directement à Kitshanga,
une cité situé à l’ouest de la ville de Goma en territoire de Masisi et elle
avait rentré sans rien glissé de son séjour là. Et jusqu’à présent la situation
est la même depuis son retour.</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Arriver, pour une malédiction ?<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Tenant
compte du climat politique actuel en Afrique et particulièrement en RD Congo,
des personnalités du monde diplomatique arrivent en RDC mais leur effet et
l’impact de leur arrivée ne pas du tout observable sur le quotidien de la
population congolaise. L’on remarque par ailleurs une montée de violence.
Pourtant, tout le monde le dit et le publie sur twitter et autres réseaux
sociaux, que la jeunesse et les enfants sont les futurs cadres ou avenir pour
un pays. Mais concrètement la réalité est autre. Cela peut aussi s’appliquer au
cas où la first lady arrivée dans certains pays africains et se rendre compte
qu’elle voulait terminer ses vacances d’été en Afrique et savourer du climat
africain. Mon souci, c’est de la mettre en alerte qu’elle sache que la jeunesse
et surtout ses enfants dont elle veut s’instruire de leur question risquent d’être
une bombe à retardement au cas où certains présidents africains n’acceptent de
quitter démocratiquement le pouvoir. C’est là que tout doit d’abord se jouer.<o:p></o:p></span></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-29439006891861169582018-08-20T02:52:00.002-07:002018-08-20T02:52:32.525-07:00Kofi Annan disparait alors que l’ONU apparait plus affaiblie que jamais<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">De nombreuses personnalités ont saluées
18 aout la mémoire<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de l’ancien secrétaire
général de l’ONU. Prix Nobel de la paix en 2001, le diplomate ghanéen a passé
l’arme a coté à quatre vingt ans au moment où l’ONU apparait comme affaiblie
que jamais…<o:p></o:p></span></b></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_Z2S9kw75dm2rAj2jffiArpwhkqds9LNK9xpAxYPJrmXI43GcE3-Lf35mzKVD-0ZDu8piNrlXPQcnvD6RbOYJkD7VL6K8xibNdNAlJf3mokZzLKN63E4VGSq7ZHQdT-DKQpACJO-lbPg/s1600/kofi+anan.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1152" data-original-width="1152" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_Z2S9kw75dm2rAj2jffiArpwhkqds9LNK9xpAxYPJrmXI43GcE3-Lf35mzKVD-0ZDu8piNrlXPQcnvD6RbOYJkD7VL6K8xibNdNAlJf3mokZzLKN63E4VGSq7ZHQdT-DKQpACJO-lbPg/s320/kofi+anan.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Vue sur Koffi Annan, receva son prix Nobel/Photo tiers</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;"><br /></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Kofi
Annan est un diplomate hors norme. Avec lui vient de disparaitre une certaine
idée de diplomatie, policée, discrète, respectueuse du collectif et de
l’individu, convaincu des vertus de la négociation et du multilatéralisme. On
pouvait dire que l’Afrique vient de perdre un mentor et un guide au sein des
Nations Unies. Malgré son âge avancé, son âge était un atout pour des
consultations en internes. Mais ce qui vient d’arriver est là ; Kofi Annan
vient de passé l’arme à coté ce 18 aout à quatre vingt ans, après avoir
accréditer au rang de vedette de la diplomatie mondiale durant ses dix années
(1997-2007) à la tête des Nations Unies.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Fin
2006, un mois <span style="mso-tab-count: 1;"> </span>avant de quitter son poste
de secrétaire<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>général de l’ONU après
bien sur dix ans de mandat, Kofi Annan promet de ne pas oublier l’Afrique<i style="mso-bidi-font-style: normal;">. « Je ne suis pas fatigué et je voudrais
travailler sur l’Afrique, offrir mes conseils »</i>, glissait-il alors à
la presse. Un peu plus d’un an après, son désir est exaucé, l’Union Africaine
faisant<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>ainsi appel à son expertise et
ses talents de diplomates pour faire office de médiateur dans la crise
politique kényane et y éteindre l’incendie des violences électorales. Plusieurs
personnalités kenyanes saluent la bravoure de ce Monsieur après cette
médiation. Aussi, en 2000, il avait annoncé depuis Adis-Abeba avec un plaisir
non dissimulé la fin de la très<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>meurtrière guerre entre l’Ethiopie et l’Erythrée, obtenue grâce à la
médiation de l’Algérie. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Parmi
ses actions en tant que secrétaire général des Nations Unies <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>on notera que, Koffi Annan fut l’un de premier
comme toute une génération de responsables, diplomates et ministre des affaires
étrangères restera marqué à jamais par l’incapacité de la communauté
internationale à prévenir et empêcher le génocide au Rwanda en 1994, qui fit
800.000 morts selon l’ONU, essentiellement parmi la population Tutsi. Une de
cause qui pouvait mettre en nu le règne de Kofi Annan. Durant cette période, il
occupe depuis un an<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>le poste de
secrétaire général de l’ONU lorsque les machettes des génocidaires s’abattent
sur les Tutsi et hutu modérés du Rwanda. Pourtant un jeu dont lui-même ne
pouvait pas s’en sorti car même la France étant un de promoteur et soutenant ce
génocide ne sachant pas en sortir une solution pour départager les
protagonistes. Une mission de maintien de paix de l’ONU (Minuar) est déployée
au Rwanda au moment<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>du génocide, sous le
commandement militaire du général<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>canadien Roméo Dallaire, mais elle n’a pas arrêté les massacres, faute
de renforts dont l’envoi nécessitait un vite du Conseil<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de sécurité. C’est ainsi que Koffi Annan
reconnaitra après que son action a été insuffisante pour prévenir les massacres
certes un échec qu’on peut attribuer à ce vaillant combattant de l’Afrique aux
Nations Unies. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Jouir d’une élégance internationale<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Certainement
dans ce monde, après votre mort ce sont <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>des éloges qui s’en suivent. Mais certaines
personnalités politiques ou non<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>peuvent
en voir davantage que d’autres. Koffi Annan est parmi l’un d’eux à en avoir.
Outre la crise kényane M. Annan avait supervisé en 2006, alors qu’il était
encore secrétaire général de l’ONU, un accord entre le Nigéria et le Cameroun
au sujet de la péninsule pétrolière de Bakassi, au centre d’un long différend
entre les deux pays. Fervent défenseur des droits de l’homme, et inlassable
avocat de la paix, même quand il était trop tard comme en Syrie, Kofi Annan,
dont on garde tous en mémoire la silhouette élégante et le visage à l’écoute,
était un diplomate de la fin du XXème siècle<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>égaré dans la folie de ce début de XXIe siècle. Il disparait, à 80 ans,
au moment où l’ONU apparaît plus affaiblie que jamais, dépassée par le retour
des égoïsmes nationaux, la montée des extrêmes et la tentation du repli sur
soi. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Une expérience élogieuse<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Nommé
à la tête de l’ONU grâce au soutien de l’Amérique qui pensait en faire son
obligé, Kofi Annan cherchera à s’émanciper de cette ombre tutélaire notamment
au moment de la guerre en Irak qu’il cherchera vainement à empêcher, une guerre
qu’il jugeait « illégale ». Lauréat du Prix Nobel en 2001, il se
montrera incapable, comme nombre de ses prédécesseurs ou successeurs lauréats
(Shimon Pérès, Yitzhak Rabin, Yasser Arafat, Barack Obama), de faire appliquer
ce qu’il professait à longueur discours. Avec ses racines africaines, son
éducation britannique, son père haut cadre dans une entreprise<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>anglaise, sa femme étant une suédoise et sa
vie américaine, Annan porte la volonté d’un consensus comme une nécessité
intérieure. Il est nommé le 23 février 2012 émissaire conjoint de l’ONU et de
la Ligue arabe sur la crise en Syrie.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Il
sied de noter que plusieurs personnalités mondiales ont adressées ou saluées ce
18 aout la mémoire de l’ancien secrétaire de l’ONU, guise de reconnaissance et
d’u artisan de la paix.<o:p></o:p></span></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-36715057341732425072018-04-11T09:20:00.004-07:002018-04-11T09:20:43.034-07:00Edito : La mort d’un prêtre vaut mille voix,...<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Alors à l’entrée du sanctuaire
d’adoration, des pleures commencent dès ce lundi soir. On entend, saisi, les
pleures puissantes que constituent durant quelques instants la représentation
des clergés et laïques chrétiens ou non oubliant pour l’occasion de quel côté
ils viennent. Ils viennent rendre hommage à l’abbé Etienne.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Vers la soirée du dimanche 08 avril
dernier, le diocèse de Goma pleure son jeune prêtre, l’abbé Etienne
Nsengiyumva, curé de la paroisse Saint Barthelemy de Kitsanga. Il n’avait que
5ans de vie de sacerdoce. Sa mort est survenue ce jour alors qu’il revenait
d’une célébration de la messe nuptiale en succursale de Tchahemba, entre la
cité de kitshanga et celle de Mwesso en territoire de Masisi à l’Ouest de la
ville de Goma. Une mort inopinée. Mais qui cache beaucoup de réalités. Il est
un unième prêtre tué dans ce contré. Dans les mêmes conditions et presque même
circonstances. Par fusillade. Que peut-il vraiment être à la base de <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>toutes ces tueries des prêtres dans cette
zone ? Qu’ont déjà fait les prélats catholiques du diocèse de Goma pour
palier<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à toutes ces tueries ? (une
dizaine). Les autorités politiques et les chrétiens ? Du coté des prélats
l’on peut remarquer un silence de Dieu. Parfois ils jurent par la miséricorde
car le plus souvent des assaillants de ces meurtres sont bien identifiés mais
une fois à la prison ils sont libérés.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Que caches-ton aux chrétiens du
diocèse de Goma? <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Masisi est l’un des territoires avec
des conflits interethniques. En février 2015, un autre jeune prêtre avec
seulement une année de sacerdoce a succombé dans les mêmes conditions à Mwesso.
Visé aussi par des groupes armés dit : « Non identifiés ».
Pourtant bien connues par les siens. A l’origine sa mort est due au fait
que<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>le curé de l’époque aurait limogé
certaines personnes à la carrière enseignante. Cela a directement semé de la
haine en certaines personnes. Le curé aurait subi des menaces de mort jusqu’à prendre
fuite de sa paroisse pour se réfugier à Goma. L’évêque du diocèse de Goma Msgr
Théophile Kaboyi et son conseil chargé de nommé les prêtres étaient tous saisi
de cette affaire. Mais aucune solution n’était pas envisagée par ces derniers.
Le jour choisi par les assaillants étant arrivé, la cible qui était le curé
n’était pas là. Arrivé presbytère ils ont directement tiré sur l’abbé Jean-Paul
Kyalembera alors qu’il était en train de fermer l’église et la sacristie. Au
lendemain de ses obsèques, ce sont des discours élogieux qui s’en n’ont suivi.
Sans pour autant faire allusion aux circonstances dans lesquelles, il est mort.
Des voix en pleure sont entendus de partout. Que de la cité de sa famille
biologique, de ses confrères prêtres et même de ses amis. Qu’en est-il du
procès de ses assaillants ? Une fois en prison<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de Munzenze, ils sont libérés par la suite. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">De
la douleur au cœur… <o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Des vies humaines sont parties, des
talents,…se trouvent maintenant entre les mains du Seigneur. De la douleur, du
chagrin, remplis non seulement dans le cœur de ses confrères prêtres, amis,
plus encore de ceux de sa famille, de ceux qui l’aime et ceux qui l’on aimé, de
ceux qui l’ont côtoyé. Il n’est plus. Ne mélangeons pas tout. Ce qui n’a pas
été révélé aux chrétiens et au public, ce qu’en territoire de Masisi, à l’Ouest
de la ville de Goma,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>il y a une
multitude des groupes armés. Ces derniers doivent être bien gérés pour ne pas
entamer une guerre fratricide. Pour ce faire, les prêtres dans ce coin sont
considérés comme des artisans de la paix. Et ils doivent à ce que tous ses
groupes armés puissent être gérer au même pied d’égalité. Ce qui n’a pas été
fait par l’abbé Etienne, étant aussi curé et dont la charge revient. Il a
favorisé une partie des groupes armés au détriment des autres. Par là on peut
se demander maintenant pourquoi personne ne peut récupérer l’abbé Etienne. Le
discours de l’évêque de Goma au sanctuaire d’adoration évoque la revanche. Une
revanche de la plainte contre l’inconnu. Il ne suffit pas de cela. Et pourquoi
ne pas alors chercher au sein de son conseil de nomination la cause de tous ces
meurtres ? Lui et son conseil sont les seuls à pouvoir trouver des
réponses à cette question. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Des discours
élogieux s’en sont suivis. Celui du vice-gouverneur nomma l’abbé Etienne d’un
artisan de la paix. Il ne pas évident d’organiser les obsèques digne de son nom
et juré par la miséricorde. Que justice soit faites et triomphe la liberté.
« C’est dans l’homme intérieur qu’habite la vérité. » écrivait le feu
Pape Jean-Paul II. <o:p></o:p></span></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-90897746221982582752018-02-12T02:54:00.002-08:002018-02-12T02:54:36.516-08:00Guillaume Bisimwa : « La cinquième édition du festival amani a été un succès… »<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Commencé depuis vendredi 09 février,
le festival amani a connu un très grands succès selon son directeur <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>général Guillaume Bisimwa. Un succès qu’il
attribue à tous ses partenaires et volontaires au sein de celui-ci. Devant la presse
ce lundi il dresse un bilan plutot positif.<o:p></o:p></span></b></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiO2YQK-dmpzgtXbKFzfJLKS-KLwu5CFkDNYG7spG3cw_ehWwb17PJ0nnl2ePZdlpWBkw3iQcvpnpjOtXb7J1R2HE9wR-gNxpKBaPl-zQXAvSRJnNyIrIsp874o1DQnp4COJxvnoFwpWzQ/s1600/IMG_20180212_092841_wm.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="768" data-original-width="1024" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiO2YQK-dmpzgtXbKFzfJLKS-KLwu5CFkDNYG7spG3cw_ehWwb17PJ0nnl2ePZdlpWBkw3iQcvpnpjOtXb7J1R2HE9wR-gNxpKBaPl-zQXAvSRJnNyIrIsp874o1DQnp4COJxvnoFwpWzQ/s320/IMG_20180212_092841_wm.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Guillaume,directeur généraldu festival amani,dresse un bilan positif</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;"><br /></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">« Nous sommes content de vous
annoncer la réussite de cette 5è édition du festival amani. Il est évident que
sans vous (la presse) et nos collaborateurs on n’aurait pas eu la réussite que nous
avons eu ces trois derniers jours. C’est fus un très grand succès par rapport
aux activités y organisé. Par exemple l’EKIDEN qui a commencé le dimanche 4
février avec la présence de 536 coureurs parmi eux les athlètes <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>venus du Rwanda et de Minova. Nous sommes en
train de réfléchir pour rendre cette activité très vivante… »</span></i><span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;"> a fait savoir ce lundi 12 février devant la presse Guillaume,
le directeur du festival en précisant que l’entreprenariat est un aspect très
capital du festival ayant pour objectif de valoriser la vie socio-économique de
la population et surtout de la jeunesse de la ville de Goma. Pour cette édition
il faut noter que 67 business plans ont été déposés et par la suite après sélection
dix entrepreneurs ont été retenus. Ces dix ont suivi plusieurs formations chez
Kivu entrepreneurs, une maison de formation en entreprenariat en province.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Partant de ces formations, ces dix
entrepreneurs ont présenté leurs speechs devant un public le jeudi 08 février
dans la grande salle de l’Hôtel Ihusi. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Les
quatre entreprises retenues sont les suivants : SACPA entreprise, Kivu
Green, Goma Bio et Kivu kuku. Toutes ces entreprise ont eu un prix de Deux
mille cinq cent dollars américains chacune pour débuter avec cette aventure entrepreneuriale.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Il
sied de préciser que plusieurs espaces dont l’espace humanitaire, que l’on dénomme
par « Kwa kesho Bora » et un espace association où environ quatre-vingt-quatre
associations et ONG ont pris part. L’objectif des espaces c’est échanger avec
la population et les festivaliers sur plusieurs thématiques sur la vie, la
santé, l’environnement, l’éducation…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Sur
le plan général, pour la première journée le festival a fait un back out de 12 mille
festivaliers, la deuxième journée 10500 et la troisième un carton de 13 mille festivaliers.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Pour
rappel, comme les éditions précédentes la 5è édition n’a pas encaissé de
dettes. Et sa prévision budgétaire s’élève à trois cent cinquante mille dollars
américains. Le plaisir reste à renouvelé l’année prochaine…à chacun et chacune
de s’y préparer.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-82248717879955889572018-02-10T09:09:00.001-08:002018-02-11T06:37:07.851-08:00Zao, une légende du festival amani<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_pBxT7GqjuuB1Ox54kjVfNS6-OEPA2hmdqfY6YilGAO2cQBIBBuOtgZGESPKl6acDaBktDADsp0Rz1tTEwcaXelMNrkuvhMYBq4JooFQk98j-R3dzSUESns5d4jbckzGCbXfbC3-oHSA/s1600/IMG_20180210_163915_wm.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="768" data-original-width="1024" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_pBxT7GqjuuB1Ox54kjVfNS6-OEPA2hmdqfY6YilGAO2cQBIBBuOtgZGESPKl6acDaBktDADsp0Rz1tTEwcaXelMNrkuvhMYBq4JooFQk98j-R3dzSUESns5d4jbckzGCbXfbC3-oHSA/s320/IMG_20180210_163915_wm.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Casimir Zoba,dit Zaodevant lapresse après sa prestation </td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Il est 16h30’ heure locale que le
musicien congolais (République du Congo) arrive à la scène du festival amani ce
samedi 10 février dédié à Djoo Paluku, cet artiste et volontaire de ce dernier
tué gentiment par un policier incontrôlé lors de l’édition passée. Habillé en
chemise blanche et pantalon blanc pour vouloir faire valoir son slogan qui est
celui <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« de la paix et de la non-violence ».<o:p></o:p></i></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">De son vrai nom, Casimir Zoba ;
né en 1953 à Goma Tsé-Tsé, Zao dit avoir venir pour une deuxième fois <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>à cette fête culturelle de la région des
grands-lacs parce qu’il est né aussi à Goma. « C’est tout à fait normal que
je revienne à Goma car moi-même suis né à Goma. Je suis venu partager avec les
gars et aux fils de Goma tout ce que j’ai dans la gibecière pour réintègre ce
message de la paix » (Rires…). Ce qui est important c’est la paix insiste-il
en prouvant que même dès son entrée sur scène il a senti que le public a besoin
de la paix, rien que la paix. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Même
si on ne mange pas bien, l’important c’est d’avoir la paix » lance-t-il. <o:p></o:p></i></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Comme à l’accoutumée, zao a fait
danser un public enthousiasmé et très content de le revoir pour une seconde
fois, par sa chanson dénommée <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Moustique ».</i>
Parmi d’autres chanson chantée <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>par cet
ancien combattant ; on peut citez : Eve, soulard…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Par ailleurs, Serge un de festivalier
alors qu’il dansait quand Zao prestait ; a révélé que c’est son musicien préféré
et qu’il est content de le revoir une fois pour le festival.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Je
viens au festival parce que je n’ai pas peur…<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Goma étant une ville touristique et géographiquement
stratégique, Zao, lui est venu parce qu’il n’a pas peur.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Vous avez Goma, géographiquement c’est un endroit très dangereux
de la terre, ça je<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>suis conscient. Je suis
obligé de revenir ici parce que je n’ai pas peur. D’ailleurs quand je prends
mon avion, les amis me disent le plus souvent Non Non, ne va pas là-bas tu vas
te faire tuer. Je leur dit que mes amis tout homme va mourir car la mort n’as pas
de signification, c’est aussi le pourquoi je chante « Corbillard ». </i>Ainsi
Zao a révélé son secret de chanter malgré son âge qui parait être très avancé
aux yeux de ses mélomanes <i style="mso-bidi-font-style: normal;">«
Mon secret c’est tout simple parce que j’aime rire et faire rire… ».</i> Répondant
à une de question des journalistes de vouloir savoir pourquoi il est partisan
de la paix et aime chanter la paix en tenue militaire ? Dans son voix d’homme,
il répond gentiment que c’est un ancien combattant qui est venu en lui pour lui
dire que la guerre ce n’est pas bon et pour mieux le dire il faut porter cette tenue-là,
si j’étais en civil peut-être ça ne pouvait pas bien rentrer car même les
enfants savent que non celui-là c’est un militaire, ça fait plaisir…mais ce pas
pour <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>faire peur.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Enfin, zao pense qu’il faut laisser le
temps au temps pour avoir la paix. Il ne s’agit pas d’aller si vite pour se
perdre de vue, car pour lui « vivre ensemble c’est merveilleux ».<o:p></o:p></span></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXmGmiat-D_zEdDpHzURQJxBi0gI7vXbU_6CB6vgVux3gn4gWJbonrRXlg-JxOshktfnA-iviYHj7R_FHFt5nlMEUMRwoOkFpKlAWp9S0m5bsN9XHk8ffgpdA9FNIHEyL1BDVIsH5-PnU/s1600/IMG_20180210_160526_wm.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="768" data-original-width="1024" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXmGmiat-D_zEdDpHzURQJxBi0gI7vXbU_6CB6vgVux3gn4gWJbonrRXlg-JxOshktfnA-iviYHj7R_FHFt5nlMEUMRwoOkFpKlAWp9S0m5bsN9XHk8ffgpdA9FNIHEyL1BDVIsH5-PnU/s320/IMG_20180210_160526_wm.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Zao sur scène ce samdei 10 février</td></tr>
</tbody></table>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-41013498549185040882018-02-09T23:14:00.001-08:002018-02-10T00:17:35.224-08:00La Rumba Congoalise, un style de musique immortalise la 5ème édition du Festival Amani<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">La paix ne doit pas être vue seulement
en termes de présence de guerre. C’est pourquoi certaines valeurs doivent être
observées pour qu’elle soit effective. Il s’agit des valeurs de paix, de
développement et de cohésion sociale. C’est pour cela que la Rumba congolaise a
été choisie. Ainsi la 5è édition du festival veut faire retour aux valeurs
traditionnelles afin de promouvoir la culture congolaise dans la région des
grand-lacs.<o:p></o:p></span></b></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMgMwMQdokLNZl9IOwt7G33AUxNhmtgZfxuGBQDdxMziHlsyzNYSpNSzY2_xAm4x6rAZ0HzYrUwJN_cwjhoXC_hWFOEEewjjmMElUP5FnpCwES_Dc2jjK62DVM4m_Y7_4sFfO5Mw4dREo/s1600/IMG-20180210-WA0001%255B1%255D.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="768" data-original-width="1024" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMgMwMQdokLNZl9IOwt7G33AUxNhmtgZfxuGBQDdxMziHlsyzNYSpNSzY2_xAm4x6rAZ0HzYrUwJN_cwjhoXC_hWFOEEewjjmMElUP5FnpCwES_Dc2jjK62DVM4m_Y7_4sFfO5Mw4dREo/s320/IMG-20180210-WA0001%255B1%255D.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le pannel composé de Guillaume,Absoulamane, Yoka et la Wallonie</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: left;">
</div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;"><br /></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">La
cinquième édition du festival amani à Goma qui a débuté ce vendredi<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>09 février dans l’enceinte de l’Institut
Mwanga, connu sous le nom du collège Mwanga a été qualifiée du<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>festival de <i>"rencontre des valeurs" </i>par Yoka Lye, directeur général de l’Institut national des Arts de la Rumba Congolaise.
C’était lors d’une conférence de presse animée ce jour pour cette fin notamment
par Guillaume Bisimwa, Abdoulamane Diallon, Yoka Lye, respectivement Directeur
général du festival amani, représentant de l’UNESCO et Directeur de l’institut
national des arts et la Wallonie Bruxelles. Pour le directeur Yoka Lye la
convention de 2003 consacre la promotion du patrimoine culturel immatériel et
c’est sur les valeurs de paix, de développement et de la cohésion sociale que
nous avons choisi la <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Roumba <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>congolaise.<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>Celle-ci elle est <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>non seulement
riche en termes de contenu mais surtout riche en termes d’histoire.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>La Rumba congolaise ne s’étale pas sur la
popularité. Il n’y a pas un art là-dessus mais c’est un élément de vecteur de
cohésion. Par ailleurs, Abdou lamane Diallo, représentant de l’UNESCO, lui,
trouve que le festival amani est le plus important de la région en ce sens
qu’il fait participer les jeunes et les artistes pour promouvoir les valeurs du
souci de l’intégration régionale,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de la
culture et de la paix ainsi que l’entreprenariat auprès de cette jeunesse. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>S’agissant de la thématique de la Rumba
Guillaume Bisimwa estime que c’est plus important à faire revivre la culture de
la Rumba et dont certains musiciens comme Ferre Gola DJ Couleur…étaient choisi
parmi tant d’autres pour faire vibrer au rythme de la Rumba Congolaise.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">D’où vient la Rumba Congolaise ?<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">La
Rumba est partie de l’Afrique au niveau du Bassin du Congo lors de la traite
négrière et qu’elle est allé aux Amérique notamment en Amérique central et sur
l’ile de Cuba. La Rumba s’est enrichie, s’est complexifier mais elle nous est revenue
au 19é Siècle sous diverses formes plutôt commercial. L’Histoire de la Rumba
est un aller et retour permanent. Les valeurs retrouvées dans la Rumba
Congolaise sont les valeurs d’universalisation et de la quête identitaire. Dès
que l’inscription au patrimoine de l’humanité de la Rumba sera effective, c’est
à ce moment-là que tout va commencer. Il s’agit de prendre les bonnes pratique
de la Rumba entre autre l’éducation, l’état d’esprit de la passion de vivre.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<br />Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-11724462328296644932017-10-27T05:03:00.001-07:002017-10-27T05:17:54.637-07:00Edito : Une visite pour chasser Kabila au pouvoir<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMqL9YMm4V8xQW5xV-Gn7orzefIg2zpMUDCFhF08ZVeApzx_vs6iM95BlQPe16z9GDrt-yXyb0QeNV5SFcugS__2vuxCEYY1u1umt8843cTw861E2e4pVbD4EkZnatALtj2X65ZkPGTfg/s1600/IMG-20171026-WA0041.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="480" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMqL9YMm4V8xQW5xV-Gn7orzefIg2zpMUDCFhF08ZVeApzx_vs6iM95BlQPe16z9GDrt-yXyb0QeNV5SFcugS__2vuxCEYY1u1umt8843cTw861E2e4pVbD4EkZnatALtj2X65ZkPGTfg/s320/IMG-20171026-WA0041.jpg" width="240" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Niiki Haley à l'aeroport International de Goma, ce jeudi 26 oct, Ph Tiers</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";">Le périple qu’effectue l’ambassadrice de l’ONU à
New York, Nikki Halley arrive dans un
contexte particulier car Washington n’a toujours pas de politique
africaine claire et le département d’Etat est sous équipement pour peser
pleinement dans les crises africaines comme au Soudan du Sud et en RD Congo. Est-ce une solution à la crise
politique qui gangrène en ces jours certains pays Africains ? Une réponse reste
incertaine. Car en diplomatie, les symboles parlent presque autant que les mots.
Des déclarations de la communauté internationale que nationale pour appeler le
président congolais, Joseph Kabila à quitter le pouvoir et à organiser les
élections dans le délai convenus selon l’accord de la Saint Sylvestre en sont nombreuses.
Point n’est plus besoin d’en revenir. Mais la réalité reste certaine et elle
est têtue. La visite de Nikki Haley n’a que pour message clair : « Faire
quitter Joseph KABILA du pouvoir le plus rapidement possible ». Est-ce
possible ? L’on dira Oui. Car dès son arrivée dans la capitale congolaise,
Kinshasa, ce mercredi 25 octobre, elle est venue en avion militaire avec une
trentaine d’accompagnateurs. Vingt ans plus tard Nikki Halley, envoyé par le
président américain, Donal Trump serait aussi venue dire à Joseph Kabila qu’il
est temps de lâcher le pouvoir et de publier un calendrier électoral
acceptable. Pourtant, une visite qui rappelle celle en 1997 de Bill Richardson,
médiateur de Bill Clinton venu réclamer la tête de Mobutu. La rencontre
historique tête à tête entre Nikki Halley et Joseph Kabila ce vendredi est un
signe d’espoir pour tous les congolais qui verront leurs fronts dresser pourtant longtemps
courber. Un Nikki Halley calme depuis qu’elle a commencée sa tournée et sans
aucune déclaration officielles aux médias. Une tête à tête pour faire triompher
le « debout congolais », toujours unis.<o:p></o:p></span></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-80115916556370529312017-10-25T03:44:00.001-07:002017-10-25T03:44:22.070-07:00Nord-Kivu : le gouvernement provincial engagé à faire de l’année 2018, une année avec « zéro camps de déplacées »<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpvXrFwVZKyeEESghzNyUOWL4eGULXAcCiG8pilCMfITcGFuEbrGSy6IcqJJc_QbrgWygG0B5b-PHIysbigCOg_6RCdWasR8osc8qREPAQxTj0acWco18Uo0x1o1fqq6_xMpUYnBdlBh8/s1600/photo+camps.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="213" data-original-width="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpvXrFwVZKyeEESghzNyUOWL4eGULXAcCiG8pilCMfITcGFuEbrGSy6IcqJJc_QbrgWygG0B5b-PHIysbigCOg_6RCdWasR8osc8qREPAQxTj0acWco18Uo0x1o1fqq6_xMpUYnBdlBh8/s1600/photo+camps.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Vue sur un site d déplacé au NK, Ph MSF</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">Il
y a vingt ans la province du Nord-Kivu a connu des guerres atroces. Celles-ci
ont conduit plusieurs ménages à quitter leur famille et milieux respectives. Ils
sont installés dans les camps de déplacés.
Le gouvernement provincial s’engage à faire de l’année 2018, une année « zéro
camps de déplacés ». Depuis ce jour, il reste que vingt-huit camps en cour
de fermeture au NK.<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">Le principe central
de la charte humanitaire (la CHS) stipule que : « Les personnes
touchées par les catastrophes doivent être mise au centre de l’action
humanitaire ». Partant de ce principe, le gouvernement provincial du
Nord-Kivu via son ministère du plan, budget, communication et Presse, Marie
Shemasthi, se voit ne pas être en conformité avec ce principe phare
humanitaire. Selon, elle, le gouvernement provincial, s’engage à faire de l’année
2018, une année « zéro camp de déplacés ». Il y a de cela vingt
ans la province est en pleine guerre et les hommes en armes s’introduisent
souvent dans les camps de déplacés. Ce fléau met en déroute le plan de
développement qui serai mise en œuvre par le gouvernement provincial. Pourtant,
le 10 octobre dernier, la CNR (la Commission Nationale pour les Réfugiés) avec
quatre femmes répresentant le gouvernement provincial du Nord-Kivu, la MONUSCO
et le PNUD ont activement échangé les points de vue sur les solutions durables
à la problématique de déplacement de la population dans la province du Nord-Kivu. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">Départ le rapport
présenté par la CNR sur le processus de fermeture des camps des déplacés
internes, il en découle que douze sites des IDPs ont déjà été fermé depuis 2015.
Il s’agit notamment du camp de Burora, Bulengo, MungungaIII, Lushebere,
Muhanga, Kalemba Rembai, Lusogha, Birere, Bonde, Katsiru, Luve et Mushababwe. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">A noter qu’au 25 juin
2015, il y avait 198 741 individus dans les cinquante-sept de déplacement
de la province ce qui représente 33% des personnes déplacées internes au
Nord-Kivu (604 562 au total). <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">En avril-mai 2015,
deux sites de déplacement, situé à proximité de Goma, Buhimba et Nzulo
était fermés.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">D'où viennent la mesure de fermer totalement les camps de déplacés<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">En fait, depuis vingt
ans, la province du Nord-Kivu héberge des camps de déplacés. De ce fait, l’autorité
provinciale juge mieux de fermer définitivement ces derniers d’ici 2018. Pour concrétiser
cette mesure, un programme est mis sur pied. Ce programme s’appelle « Fosode »,
ayant la mesure d’apporter les solutions durables pour les personnes déplacées
internes, a fait savoir Mari Shematshi, ministre provincial du plan, budget. Il
est mis en œuvre par d’autres organisations humanitaire ainsi que le Haut
commissariat pour les réfugiés (HCR), le PNUD, UNHABITAT…ce consortium à pour
but d’élaborer des stratégies permettant de respecter les normes
internationales qui encadrent les déplacés de guerres. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">C’est ainsi qu’en
2009, la province du Nord-Kivu comptait soixante-trois camps qui se sont vidés
progressivement. En 2014, il n’en resté que cinquante-quatre camps. Alors qu’en
2015, lors de la mis sur pied du programme Fosode, quarante-huit camps existé. Ces
derniers étaient devenus des lieux de refuge pour les hommes armés. Malgré certaines
perturbations sécuritaires au sein de la province, certains endroits sont calmes
et peuvent servir de refuge pour un hébergement de personnes déplacées qui
quittent leur camp fermé. <i>« Nous
ne venons pas et fermé les camps subitement. C’est tout une procédure. Nous prenons
les intentions des personnes déplacées afin de savoir ceux qui veulent rester
ou quitter le camp une fois fermer »</i>, explique Marie Shematshi, ministre
provinciale du plan, budget, communication et Presse, tout en rassurant que les
personnes déplacées sont accompagnée chez eux dans des bonnes conditions et
certaines retournent avec des kits alimentaires.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";"> <b>Fermer les
camps de déplacés et non mettre fin aux activités humanitaires…<o:p></o:p></b></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">Depuis 2015 plusieurs
camps sont déjà fermés. Ceci dans le but de permettre aux personnes déplacées
de pouvoir se développer dans leurs milieux respectifs.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">En 2017, treize camps
de déplacés ont déjà était fermé. Il l’en ressort qu’aujourd’hui la province du
Nord-Kivu compte à son sein vingt-huit camps encore viables. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">En plus, le
gouvernement provincial s’engage à accompagner la mesure de fermeture effective
des ce camps et d’ici au mois de novembre le consortium se réunira pour mettre
en place une stratégie finale pour la fermeture totale de ces camps en 2018. Cette
mesure est pris en étroite accord avec les humanitaires : <i>« Tous les humanitaires sont au courant
de cette mesure. Ils croient que quand nous fermons les camps, c’est-à-dire que
nous mettons fin aux activités humanitaires
en province, ce qui est faux, insiste la ministre provincial et exhortant les
humanitaires à suivre les déplacés dans leurs familles d’accueil. »</i> Conclut-elle.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif";">Fermer les camps de
déplacés, c’est une mesure que le gouvernement provinciale à prise et elle doit
être exécuté ipso facto. Ainsi dit, l’année 2018 est déclarée année <i>« Zéro camps de déplacés »</i> en
province du Nord-kivu.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-73616552762504757472017-10-19T23:37:00.002-07:002017-10-20T01:22:19.838-07:00Nyiragongo : Une route réhabilitée par la Monusco afin de lutter contre les violences faites à la population.<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgdKgGNWL3H0fcXiwteFLx8jaFxXjVWwlZAfWl1JycM_9aQwUY-V_6NITwB7-3rh0rGyL5s6X1EDXpTMJeOTcAXNnUO0thK9Q6MjmJqt4H2YhoL-k67IcMQLByFspHdZfFbtuCCyq5bU4Q/s1600/IMG-20171019-WA0037.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="780" data-original-width="1040" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgdKgGNWL3H0fcXiwteFLx8jaFxXjVWwlZAfWl1JycM_9aQwUY-V_6NITwB7-3rh0rGyL5s6X1EDXpTMJeOTcAXNnUO0thK9Q6MjmJqt4H2YhoL-k67IcMQLByFspHdZfFbtuCCyq5bU4Q/s320/IMG-20171019-WA0037.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Ancienne route de Kalagala, très fermée.Inspection par les agents de la Monusco</td></tr>
</tbody></table>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh71bunSKPFh-4Hu_0tUd9_J7dT8KZTYSfRhRhBzLSrKlu7tPNsn8OTfX5sTSteJgIivjl21CgQqYr8kz7crdDJxcAvXJN9tov2bu1eQX5zdN9x863DyPeufE2sxY5061RG9hC3IsWQG9k/s1600/IMG_20171019_102215_1.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh71bunSKPFh-4Hu_0tUd9_J7dT8KZTYSfRhRhBzLSrKlu7tPNsn8OTfX5sTSteJgIivjl21CgQqYr8kz7crdDJxcAvXJN9tov2bu1eQX5zdN9x863DyPeufE2sxY5061RG9hC3IsWQG9k/s320/IMG_20171019_102215_1.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Nouvelle route réhabilité et qui ouvre sur Turunga </td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";"> </span><b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";">Dans
le territoire de Nyiragongo en chefferie de Bukumu dans la notabilité de
Kasanza, une route vient d’être réhabilitée par la Monusco. Long de 12Km, cette
dernière était a fait des années fermées par les pierres alors que étant une
route principale. Grace à un financement de la Monusco équivalent à
99 779,9$ exécuté par l’Association pour le projet des besoins locaux
(APBL Asbl). Les travaux ont été exécutés par les jeunes démobilisés et les
femmes vulnérables afin d’une réinsertion socioéconomique de ces derniers.</span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";"><br /></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";"><o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";">Dans le territoire de
Nyiragongo en chefferie de Bakumu à la notabilité de Kasanza, une route
longtemps fermées par des pierres vient d’être ré-ouverte ce jeudi 19 Octobre.
Le montant global de ses travaux équivaut à nonante neuf millions sept cent
septante neuf mille point neuf dollars américains à part la participation
locale estimé à six mille quatre cent quatre vingt dollars américains. Cette
route était longtemps oubliée alors qu’elle est une route principale séparant
les groupements de Muja et de Rusayo à l’Ouest de Goma. Une fois vous êtes à
l’entrée de l’endroit communément appelé CCLKA, vous prenez la direction Nord.
Une route principale long de 12Km vous accueil et vous guide. On l’appel le
plus souvent « Route Kalagala ». Elle à été réhabilitée dans le
but de réduire les violences jadis dans ce milieu où la population manquée où
passer et parfois ne connaissant pas délimiter le groupement de Muja et celui
de Rusayo. Le chef du groupement Rusayo à manifester son sentiment de joie de
vois la route montrer les limites du
groupement Muja et celui de Rusayo : <i>« Je
suis content de voir cette route ouverte car elle permet de limiter le conflit
entre le groupement Muja et le groupement de Rusayo. Ils viennent de nous aider
vraiment car grâce à elle nous allons vaquer à nos activités champêtres comme
il le faut. Nous demandons à la Monusco qui a financé de bien menant terminer
la route en entier pour qu’elle soit bien praticable. »</i> confie Kabumba
Janvier chef du groupement Rusayo. Par ailleurs ces travaux ont été réalisées
par les démobilisés ayant sorti dans les groupes armées. Cela fut une façon de
les réinsérer dans la vie socioéconomique, selon Malira Mufano Samson, chef de
ce projet exécuté par leur association APBL (Association pour le projet des
besoins locaux). Pour Kabuya Bihembo, un jeune démobilisé qui lui réitère son
sentiment de satisfaction à l’égard de la Monusco et demande que ce genre
d’initiative ne puisse pas se terminer afin de ne pas rentrer dans les groupes
armés et que leur encadrement soit effectif. </span><br />
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";">Une
route pour une réinsertion socioéconomique<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<i><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";">« Je
suis content de vous rencontrer une fois pour la remise de la route kalagala.
En janvier 2017, nous étions ici pour voir si nous pourrions commencer les
travaux mais c’est un plaisir pour moi de voir les petits commerçants et les
mamans vendeuses tout au long de la
route.»</span></i><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";"> explique
Miriam Moeller, représentante du chef de bureau de la Monusco, tout en
félicitant tous les participants ayant pris part à la réalisation de cette
route et éprouvant un sentiment de joie à l’égard des démobilisés et des mamans
vulnérables pour leur réinsertion socioéconomique. Cet ouvrage permet d’avoir
accès aux produits agricoles. La province du Nord-Kivu est actuellement victime
des violences occasionnées par l’activisme des groupes armés. Dans le
territoire de Nyiragongo les jeunes sont organisés en bande armé qui opère en
ville de Goma et dans le territoire de Nyiragongo. Le plus souvent ses jeunes
sont manipulés par les politiciens. Le retour massif improviser et sa prise en
charge des démobilisés de Kitona et de Kamina vient assombrir la situation
socioéconomique de paisible population. C’est ainsi que ce projet a été
institué afin de lutter contre toutes les violences en territoire de
Nyiragongo, chefferie de Bukumu. Selon Malira Mufano, cette exécution est le fruit
d’un dialogue franc avec les différentes couches de la population de la
collectivité de la chefferie de Bukumu et qui a estimer qu’il est impérieux que
les jeunes désœuvrés, les démobilisés et
les femmes vulnérables soient encadrés en travaillant de commun accord dans la
réalisation des travaux d’intérêt commun qui permettront une cohabitation
pacifique et faciliteront une bonne réinsertion socioéconomique.</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";">Des
appels à bien gérer la route…<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";">Des appels fussent de
partout pour bien gérer cette route. La population est déterminer à bien
entretenir cette route car elle permet d’arriver même à Turunga au Nord –Ouest
de la ville de Goma. Le premier à avoir fait son appel est le conseiller du
ministre provincial de l’agriculture, Elie Nzaghani qui appelle la population à
« s’approprier cette route et bien organiser les « Salongo »
chaque samedi afin de réduire les violences souvent observer dans
celle-ci ». Aussi il y a le chef du groupement de Rusayo, Kabumba Janvier
qui, lui « demande plus de soutient aux partenaires et en appelle la
population à s’approprier cette route car elle n’appartient pas à la Monusco,
ni au gouverneur, ni au ministre. Je leur demande de bien l’entretenir. »<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif";">Il ne reste qu’au
gouvernement congolais la tache de goudronner cette route car longtemps
fermées, aujourd’hui ré-ouvertes. Elle servira un jour à l’évacuation de la
population, si une fois le volcan Nyiragongo entré en éruption.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw0A77QgvrEfod-FuNyJ3tjK74xEizGkB_vWqbi8eKWM-n0LANi3gPZ-31-JEZTCeacgd8BUpjAFO6XggDe_xgMscWlGJRo983tg9svdcCWvcZ6DH0bTco8NncYTVHLKIKcinEEQycAiI/s1600/IMG_20171019_120330.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw0A77QgvrEfod-FuNyJ3tjK74xEizGkB_vWqbi8eKWM-n0LANi3gPZ-31-JEZTCeacgd8BUpjAFO6XggDe_xgMscWlGJRo983tg9svdcCWvcZ6DH0bTco8NncYTVHLKIKcinEEQycAiI/s320/IMG_20171019_120330.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Remise symbolique de la route par le conseiller du Min Prov de l'agri Elie Nzaghani et le chef de chefferie de Bukumu Murairi Bahati</td></tr>
</tbody></table>
<br /></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-74466340785871361732017-09-01T01:44:00.000-07:002017-09-01T01:44:09.600-07:00Goma : A qui profite le refus de la rentrée scolaire ce 04 septembre ?<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS","sans-serif"; font-size: 16.0pt; line-height: 115%;"> <table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhivD8Ozn6irZhB00lBQ9znHO0OorMEjesz4eG0hLsnClvVdPUwqMCaYoX1gEoVlrKYO5r_1XCLs_HXP1movgXg68vuHFhgsecSevX-0iFyId6mbYNpRXGvMRSLwJkz1yrUqsxXhtnpfiI/s1600/enfant+ecole.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="768" data-original-width="1024" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhivD8Ozn6irZhB00lBQ9znHO0OorMEjesz4eG0hLsnClvVdPUwqMCaYoX1gEoVlrKYO5r_1XCLs_HXP1movgXg68vuHFhgsecSevX-0iFyId6mbYNpRXGvMRSLwJkz1yrUqsxXhtnpfiI/s320/enfant+ecole.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Vue sur les enfants dans la cour d'une école, Photo tiers</td></tr>
</tbody></table>
</span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Ce lundi 04 septembre, c’est la
rentrée scolaire sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo. Mais
l’intersyndical tient à boycotter cette rentrée scolaire pour diverses raisons.
Ce sont les enfants qui en sont victimes. Par ailleurs l’intersyndical faisant
référence aux accords de Mbudi conclu entre le gouvernement et les enseignants,
ces derniers revendiquent que le salaire des enseignants soit payé par l’Etat
et par la suite une voie de négociation devra être entamée. Pourtant la recommandation
OIT-UNESCO de 1966 concernant les
conditions du personnel enseignant, disposition 8 alinéa 82 stipule : « Les
traitements est les conditions de travail des enseignants devraient être déterminé
par la voie de négociation entre l’organisation d’enseignant et les employeurs ».
Pour sa part Pochelin Byamumonyi, secrétaire national du synecat (Syndicat national des écoles
catholiques) appelle tous les enseignants à ne pas rentrée à l’école pour ce 04
septembre comme prévu l’ouverture de l’année scolaire. <i>« Les enseignants du réseau catholique
unis à tous les autres se décident ne pas rentrée ce 04 septembre à l’école et
entame un mouvement de grève jusqu’à nouvelle ordre », précise-t-il</i>. Plusieurs
stratégies son mis en place pour l’effectivité
de cette grève.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "Trebuchet MS","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">De leur coté les coordinations
des écoles conventionnées estiment que le gouvernement a déjà donné des
instructions afin que ce lundi la rentrée scolaire soit effective et que le
gouvernement est en train d’examiner le cahier de charge des enseignants. <i>« Je demande aux enfants de venir à l’école
en uniforme ce lundi 04 septembre à 7h30’ »</i>
martèle l’Abbé Daniel Kitsa, coordonateur des écoles conventionnés catholiques
du diocèse de Goma. Le gouvernement est en train de voir comment répondre au cahier
des charges des enseignants. L’on pourra se demander pourquoi les enseignants
ne commencent pas le plus souvent leur mouvement de grève dès la fermeture de l’année
scolaire. Compte tenu du climat politique actuel du pays, est-ce que les revendications
des enseignants auront des résultats escompté ? Alors que les parents sont déjà
habituer à les payé…<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-75229189445519129402017-08-30T05:38:00.001-07:002017-08-31T01:15:43.475-07:00Dans "l’Obéissance", Mgr Théophile Kaboy,évêque du diocèse de Goma, est prêt à prendre sa retraite<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQqxMqcvyCRbv0S02e8RJaooI9Y1QaPeALYqrKGF5qtag0WEQ4yePRFgvW4_o-ej15HZ68L3V1H1mteUk_e5V3ggpwguucUtxtZnPmwfWTstbbznAcs_GRKaRgKDEbKmxpztSDLsvzKL4/s1600/IMG_8314.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1196" data-original-width="1600" height="239" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQqxMqcvyCRbv0S02e8RJaooI9Y1QaPeALYqrKGF5qtag0WEQ4yePRFgvW4_o-ej15HZ68L3V1H1mteUk_e5V3ggpwguucUtxtZnPmwfWTstbbznAcs_GRKaRgKDEbKmxpztSDLsvzKL4/s320/IMG_8314.JPG" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Mgr Thephile Kaboy lors des JDJ 2017 au collège Mwanga</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Agé de 75 ans révolus, l’évêque du
diocèse de Goma, Mgr Théophile Kaboy Ruboneka, se dit prêt à prendre sa
retraite dans "toute obéissance". Il a fait savoir alors qu’il fêté ses
quarante-cinq ans de sa vie sacerdoce ce dimanche 27 aout dans la paroisse Saint Joseph de Bobandana, situé à l’Ouest de
la ville de Goma dans le territoire de Kalehe dans la partie du Sud-Kivu. <i>« À 75 ans le saint siège demande qu’on
démissionne quant on est évêque, ce que
l’évêque peut présenter sa démission, qui peut être accepté ou rejeté par le
Pape. »</i> précise Mgr Théophile Kaboy. En tant que évêque de Goma Mgr
Théophile Kaboyi a déjà présenter sa démission au Pape François, il n’attend
que son accord. Notons que plusieurs causes peuvent être justifiées par cette
attente car pour rappel, Mgr Théophile Kaboy depuis qu’il est évêque du diocèse
Goma, il a plusieurs révolutions au sein du diocèse entre autres, la
réhabilitation de l’ancienne cathédrale de Goma consumée par le volcan en 2002,
la construction de la nouvelle cathédrale de Goma à Keshero en diagonale de
l’Université Catholique la Sapientia, et sa détermination à accompagner
spirituellement et moralement sa jeunesse… </span></blockquote>
</div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Selon lui, c’est dans l’obéissance
qu’il attend la réponse du Pape, et il précise qu’il ne connait pas encore son
dauphin car le Pape est libre, il fait ses enquêtes, il demande, il voit… <i>« Je n’en sais absolument rien de mon
dauphin alors il nommera ce qu’il veut, c’est tout, c’est l’obéissance »</i>
insiste-t-il. A 75 ans le droit canon autorise à un évêque de demander sa démission. L’âge de
la retraite s’applique à 75 ans aux évêques comme aux membres des dicastères
romains, souligne un « rescrit » du Pape François en date du 3
novembre 2014, qui rappelle les normes en vigueur depuis Paul VI, en matière de
renonciation à une charge pastorale, y compris que le pape demande à un évêque
de renoncer à sa charge plus tôt, après un « dialogue fraternel ».<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Parmi les sept articles de la reforme,
le premier article confirme la discipline en vigueur dans l’Eglise latine et
les différentes Eglises orientales <i>sui
iuris</i> : les évêques diocésains et des éparchies et tous ceux qui ont
une charge équivalente, comme par exemple, les coadjuteurs ou les auxiliaires –
cf. canons 381 §2 Code de droit canon de l’Eglise latine (CIC) et 313 du Code
pour les Eglises orientales (CCEO) -, sont invités à « présenter la
renonciation à leur charge pastorale une fois accomplis 75 ans ». Et le
deuxième réaffirme que cette renonciation n’entre en vigueur que quand elle est
acceptée par « l’autorité légitime ».<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Qui
est Mgr Théophile Kaboy ? <o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Mgr Théophile Kaboy est né à Bobandana le 27 février 1941 des parents chrétiens, son Papa fut d’ailleurs enseignant et sa Mère travailler et étudier chez les sœurs.
Il a été ordonné prêtre le 27 aout 1972 par le premier évêque du diocèse de Goma, le feu Mgr Joseph Busimba. En 1996
il est devenu évêque de Kasongo avant de devenir évêque coadjuteur, le 02 mai 2009, du diocèse
de Goma auprès de l’évêque émérite Mgr Faustin Ngabu. Il a été nommé évêque du
diocèse de Goma, le 18 mars 2009 et est intronisé comme éveque de Goma le 11 avril 2010.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Ce fut un moment de joie et de grâce pour lui d’avoir célébrée
une messe d’action de grâce en cette occasion car c’est à Bobandana qu’il a reçu son sacrement
de sacerdoce.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-30616074200173749622017-07-27T07:12:00.000-07:002017-07-27T07:36:08.795-07:00Goma : L’ONU veut une mobilisation accrue des femmes dans la réalisation des objectifs de développement durable 2030.<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDpcWnCuD57Hp2FmglOzVKRVRSk9jl0N33YpCJp4YvyKFUUSQep3x_VASAJIX6u-7K9z4XM-5K44laeguTieTV5eC7kwaNycWYWIUaG8dQqObwn3248i0GVMYuydqGyOG7zCC0e0NdNLY/s1600/images.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="213" data-original-width="237" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDpcWnCuD57Hp2FmglOzVKRVRSk9jl0N33YpCJp4YvyKFUUSQep3x_VASAJIX6u-7K9z4XM-5K44laeguTieTV5eC7kwaNycWYWIUaG8dQqObwn3248i0GVMYuydqGyOG7zCC0e0NdNLY/s1600/images.jpg" /></a><b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Une
mission de haut niveau des Nations Unies a été effectué par trois femme ce
mercredi 26 juillet à Goma afin de revitaliser la participation des femmes et
le leadership féminin dans la paix, la sécurité et le développement. Il s’agit
de Mme Amina Mohamed, SG adjointe des UN, Mme Dr Phumzile Mlambo-Ngcuka,Directrice
Exécutif de l’ONU Femmes et Sous-secrétaire Générale des UN, Mme Pramila Patten,
Représentante spéciale du secrétaire Générale et Mme Bineta Diop, envoyée
spéciale du Président de la Commission de l’Union africaine. <o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">C’est dans une ambiance boréale que
ces trois femmes au profil hors du commun ont été accueillies ce mercredi 26
Juillet à l’aéroport international de Goma. Elles avaient comme mission officielle en
République Démocratique du Congo de revitaliser la participation des femmes et
le leadership féminin dans la paix, la sécurité et le développement. Selon ces femmes,
cette mission est une opportunité à
toutes les femmes de la RDC et de la province du Nord-Kivu à se liguer en une
plate-forme dans le souci de transmettre les voix et les expériences des femmes
aux décideurs et aux dirigeants politiques, y compris les ministres et les chefs des gouvernements
dans les pays visités ainsi qu’aux dirigeants de la Commission de l’Union
Africaine et les membres du Conseil de sécurité de l’ONU. Cette mission
conjointe de haut niveau a démarrée le 19 juillet par la ville de Kinshasa. Cette
délégation pourra se rendre aussi au Nigéria, au Sud-Soudan pour se terminer ce
31 juillet au siège de l’Union africaine à Addis-Abeba en Ethiopie. Avant de
quitter Kinshasa, cette délégation a rencontrée les autorités gouvernementales,
en l’occurrence le Président de la République, le Ministre des Affaires Etrangères,
le Ministre du Genre et le Président de la Commission Electorale Nationale
Indépendante (CENI). Aussi la délégation a également rencontré les partenaires
au développement et les activistes de la société civile.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">A Goma, par ailleurs, cette délégation
à visiter la maison de la femme où la démonstration des œuvres faites par les femmes ont été démontrées. Ainsi
que le camp de Mugunga, avec une série des témoignages des bénéficiaires des
interventions de diverses agence des NU.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Les ODD (Objectifs de Développement
Durable) sont uniques dans la mesure où ils couvrent des problématiques qui
nous concernent tous. Ils réaffirment notre engagement internationale de mettre
un terme à la pauvreté, de façon permanente, partout. Ils font preuve d’ambition
en cherchant à ne pas laisser personne de coté. Et surtout, ils comptent sur
nous tous afin de bâtir un monde plus durable, sur et prospère, pour l’humanité
toute entière.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-88634995256408906832017-04-24T04:53:00.002-07:002017-04-24T05:47:25.080-07:00Nord-Kivu : Le blocage des fonds met en péril la vie des déplacés dans les camps des déplacés.<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgURAh2Q1YJxR5dDePzfkzU4xwZrnw4pslz0awqNd29Q_83gUwyfnfppfNgxxOEx_wlewZW1U7Twm1EBE79hAxOWDWjzm-k3EwBvsC7jS0Ejw62mzMdhBknj8_qaA4sv7I_qgswC9tCjLA/s1600/MSF127062-DRC-2012-Aurelie-Baumel-MSF.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgURAh2Q1YJxR5dDePzfkzU4xwZrnw4pslz0awqNd29Q_83gUwyfnfppfNgxxOEx_wlewZW1U7Twm1EBE79hAxOWDWjzm-k3EwBvsC7jS0Ejw62mzMdhBknj8_qaA4sv7I_qgswC9tCjLA/s320/MSF127062-DRC-2012-Aurelie-Baumel-MSF.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Les déplacés dans camps à l'Ouest de Goma/Photo MSF</td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Situé à l’Ouest de la ville de Goma,
capitale de la province du Nord-Kivu, la situation humanitaire des déplacés
reste très précaire suite au désengagement
de certaines associations, ONG et par blocage des fonds pour l’année en cours. Selon
Philippe Martou, directeur de PAM (Programme alimentaire Mondial) malgré la
distribution des vivres en date du 13 avril dernier, les personnes déplacées souffrent
des mauvaises conditions de vie par manque d’eau potable, la malnutrition,
mauvaises conditions d’Hygiène et en plus de l’insécurité qui prévaut autours
des camps et sites des déplacés. Malgré cette précarité aucun départ volontaire
n’a été signalé ou enregistré.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Renvoi
des élèves par manque des frais<o:p></o:p></span></b></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">L’éducation des enfants déplacées
reste hypothétique. Par ailleurs, une prise en charge de 50% a été enregistrée
par certaines associations. La semaine dernière plusieurs élèves sont renvoyés
de leurs établissements scolaires des sites et camps respectifs par manque du non-paiement
du quota de 50% pour la scolarité. Ces personnes déplacées sont confrontées
aussi à un manque de moyens financiers pour se procurer des médicaments pharmaceutiques
car il n’existe pas de centre de santé dans le camp, rapporte les sources
humanitaires de Ocha. Les personnes âgées et les handicapés sont aussi du
nombre, ils n’ont pas de force et manquent les moyens pour se procurer de l’eau
potable. Ces déplacées vivent dans un environnement malsain et les moustiques,
les huttes sont hors usages et les familles sont exposées à la malaria et aux
intempéries de tout genre. Si une réponse d’urgence n’est pas mis à leur
disposition, les personnes affectées pas cette crise humanitaire se verront
succombées.<o:p></o:p></span></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-54054585107186099872017-04-10T02:21:00.001-07:002017-04-10T02:23:24.733-07:00JDJ2017 : Les jeunes chrétiens appelés à cultiver la paix et la cohabitation pacifique<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLwW-ukQcYUi4NX0PAWJ4uTH6-4xSAnFCsCgryggm33ut-CwPge5gQhocILsOWrSElpwjZ-GS2Tu4cbh9QV9-aV5wbwpsw2s92vvLs-W0RtB_IoQ_HAksUGy7JA7c4d3hyphenhyphenym0cDK-IOvE/s1600/IMG_20170407_110028.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLwW-ukQcYUi4NX0PAWJ4uTH6-4xSAnFCsCgryggm33ut-CwPge5gQhocILsOWrSElpwjZ-GS2Tu4cbh9QV9-aV5wbwpsw2s92vvLs-W0RtB_IoQ_HAksUGy7JA7c4d3hyphenhyphenym0cDK-IOvE/s320/IMG_20170407_110028.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Ouverture de la messe à la Place JP II au colège Mwanga, vendredi 07 avril</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Plus
de 22 000 jeunes catholiques du diocèse
de Goma sont réunis à Goma pour les journées diocésaines des jeunes. Sous
l’égide de l’évêque de Goma Mgr Théophile Kaboyi, ils y sont enseignés aux
différents thèmes sociaux et moraux. Ces journées durent trois jours soit du 07
avril au 09 et prennent fin le dimanche des rameaux.<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Plus de 22 000 jeunes du diocèse de
Goma sont à Goma pour les journées diocésaines des jeunes (JDJ). C’est par une messe d’ouverture à la place Saint Jean
Paul II au collège Mwanga qu’ont été ouvertes ce vendredi ces journées. Ces
jeunes sont venues de vingt-six paroisses que compte jusqu’à présent le diocèse
de Goma. D’autres viennent par ailleurs du Rwanda, du Burundi et d’autres
organisations des jeunes des pays de grands lacs. Une façon de redonner aux
jeunes les signe de l’œcuménisme et du dialogue interreligieux. A part les
activités à caractère spirituel, ces jeunes bénéficient d’une initiation à la
culture de la paix, la cohabitation pacifique, la sexualité responsable,
l’entrepreunariat…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">L’évêque de Goma, Mgr Théphile Kaboyi
exhorte les jeunes à ne pas se laisser faire par les manipulations
politiciennes et à s’engager pour une recherche durable de la paix dans la
province et dans la région. Cette paix doit être trouvée et vécue si une fois
vous jeunes vous êtes bien informés. Poursuivant Mgr Théophile Kaboyi appelle les
jeunes à suivre des médias qui peuvent leur permettre à cultiver la paix et la
cohabitation pacifique et ne pas se fier aux rumeurs de certains médias. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Ces journées ont comme objectifs de
rassembler la jeunesse du diocèse de Goma pour leur donner des signes de
l’œcuménisme et du dialogue interreligieux. Ces derniers étant la communion
avec ceux qui ne sont pas de votre religion. Créer des ponts de fraternité et
d’espérance entre les peuples et les cultures.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Pour Wilvin Alberto, aumônier
diocésain des jeunes, qui pour lui rappel aux jeunes que les frontières qui
nous séparent ne sont que géopolitiques et non humano-chrétiennes. Incitant les
jeunes à s’illustrer des autres jeunes de la province qui ont été victime de la
méchanceté des différentes atrocités dans les différentes guerres et
massacrent. Appelant par la suite les jeunes à œuvrer pour la paix dans la
région sans discrimination et dans le respect de nos différences. Aussi
certains jeunes partagent le même avis, Olivier Chimima de la paroisse de
Rugari dans le territoire de Rutshuru estime malgré l’accueil chaleureux ces
JDJ (Journée Diocésaine des Jeunes) il n’y a pas eu des signes des conflits
interethnique.<o:p></o:p></span></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgznNwSCY-J_lhv1OGnkQJhTA1Kna4iXFAp_EaWxPcqvU6rJlM1C-ZCiM8Uv8F-Z6a_ZI62jIqu3d9SM9mVWoOhymcIEGoc866f2S-MymN1sumRQDxsVCRSA_lCdwyu4rGnYDaFl1VYMUQ/s1600/JDJ_Kaboyi.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgznNwSCY-J_lhv1OGnkQJhTA1Kna4iXFAp_EaWxPcqvU6rJlM1C-ZCiM8Uv8F-Z6a_ZI62jIqu3d9SM9mVWoOhymcIEGoc866f2S-MymN1sumRQDxsVCRSA_lCdwyu4rGnYDaFl1VYMUQ/s320/JDJ_Kaboyi.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Mgr Théophile Kaboyi éveque du diocèse de Goma aspergea les rameuax des jeunes, dimanche 09 avril.Photo PresseJDJ</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Des
journées de rencontre et partage d’expériences<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Christophe Irumva, jeune de la
paroisse de Kitchanga dans le territoire de Masisi, précise que <i>«je suis content de ces journées car nous
nous sommes rencontrées avec différentes personnes et cela m’a permis d’échangé
avec eux et même ceux de la famille d’accueil… »</i> Confie-t-il tout
souriant et souhaitant que ce genre d’initiative ne puisse pas se terminé.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Ce fut aussi un moment de partage sous
le thème proposé par le Pape François : <b><i>« Le Seigneur fit pour moi
des merveilles, Saint est son nom »</i></b> (Luc 1 :49). « Je
viens de rencontrer des gens que je ne pouvez pas voir, ceux du Rwanda et du
Burundi. J’ai été émerveillé par les différents thèmes, par exemple, sur le Sida,
la sexualité responsable et l’amour du prochain. » S’émerveille Charles
Bon Emowakungu, jeune de Misau en territoire de Walikale.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">En plus, ces journées diocésaines des
jeunes sont à leur neuvième édition. Plusieurs jeunes sont confiant de
participer à d’autres rencontre afin de partager leurs expériences de foi avec
d’ autres jeunes de différentes religions.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">
<br /></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-68901697064420789992016-12-22T00:48:00.002-08:002016-12-22T00:48:58.661-08:00Des maux à bannir pour un vrai essor de la RD Congo (analyses)<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJ9_nRmOREPx2QtddFLPDkRQgHbS54WuSeRdSP74KEyn4MDt1_2pUH1MwUBRkVNLGwdu3yEmU4YZUVmYHXEb4DZJnc3zu6GDZOygNtuKIzep-evPNBv2CthpHafIJw649MPHXnXMmFoFc/s1600/IMG_20161108_084916.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJ9_nRmOREPx2QtddFLPDkRQgHbS54WuSeRdSP74KEyn4MDt1_2pUH1MwUBRkVNLGwdu3yEmU4YZUVmYHXEb4DZJnc3zu6GDZOygNtuKIzep-evPNBv2CthpHafIJw649MPHXnXMmFoFc/s320/IMG_20161108_084916.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">En plein parc de virunga sur un endroit mythique appelé"Busendo"</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Chacun
pense de sa façon. Tout congolais a le souci un jour de vivre dans la paix.
Aussi de se promener jusqu’à X temps dans sa contrée…mais hélas !cela
n’est pas possible. Parce que l’insécurité bas record…un mal de tous les
jours ! Ce qui me pousse à rédiger ces quelques lignes c’est sont les
études que je suis en train de mener en échantionnant les rivières Rutshuru et
Rwindi, toutes situé en territoire de Rutshuru à l’Est de la RD Congo. Dans ce
territoire ayant un sol fertile, la population est engagée à faire le travail
champêtre. En plus, tout en poursuivant mes recherches en limnologie, je me
suis rendu compte des faits sociaux dont certains font fi de leur existence.
Par exemple, dans une localité appelé Biruma, des jeunes filles de 9 à 17
vendent des avocats sur des plateaux, d’autres du sombé… et affirment d’un ton
de regret qu’elles ne vont pas à l’école faute
de manque des moyens financiers alors qu’il y a des organisations
humanitaires qui interviennent dans ce domaine….pitié…parbleu !poursuivant
ces lignes je me rend compte que tu risques de te fatiguer à me lire, par
ailleurs, j’ai constaté certains maux qui freinent et qui continuent de nos
jours à freiner l’essor de la RD Congo et de la province du Nord-Kivu en
particulier. Parmi lesquels ; le manque de volonté politique, la
corruption, l’impunité….il va s’en dire, en voyageant à la Rwindi pour
échantionner rivière, des réalités nous les avons vus. Parcourant environ 28 km
de la cité de Kiwanja jusqu’à la Rwindi, vous trouverez une route non
goudronner. Alors que depuis son accession au pouvoir en 2001 après la mort de
son père L.D.Kabila, Joseph Kabila le président sortant parcours parfois cette route en quittant la ville de
Kisangani et Beni jusqu’à Goma en voiture... Cela montre le manque de volonté
politique. D’où il veut être plein aux as au détriment de cette population.
D’autres part la corruption qui gangrène certaines institutions de l’Etat. Par
exemple, tout en voyageant un soldat me fait savoir qu’il est difficile de
pratiquer le travail d’un militaire digne de ce nom dans cette province du
Nord-Kivu. Pourquoi alors ? Tout simplement parce que parfois il trouve
une fraude et c’est son officier qui lui dit de laisser et par après l’officier
va prendre l’argent du criminel. De la corruption qui pousse par-dessus les
moins gradés aussi à maltraité la population…un autre élément le plus vécu est
l’impunité. Celle-ci nous l’observons même jusqu’à nos jours. Prenons l’exemple
du dit Général Tango Fort accusé à maintes reprises par la communauté
internationale mais remercié par le régime de Joseph Kabila en le laissant à
son poste sans pour autant à être condamné ou puni. Autant de cas sont ou
restent à relever…merde !<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Que faut-il pour en sortir ?<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Pour
que la RD Congo en général et le Nord-Kivu en particulier puisse sortir de
cette impasse, il faut remonter dans la catégorie des savoirs. C’est-à-dire
faire intervenir le savoir, le savoir-faire et le savoir-être…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Le savoir,</span></b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;"> c’est l’ensemble des connaissances d’une personne sur
un sujet donnée. Mais avec le climat politique actuel, peut-ton dire que tous
les congolais ont le « Savoir» ? Alors que les bureaux des certaines
autorités sont pleins des professeurs, des docteurs, des chefs des travaux….<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Le savoir-faire,</span></b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;"> c’est la capacité à agir d’une façon donnée. Est-ce
que tous les congolais produisent un
travail rentable ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Le savoir-être,</span></b><span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;"> c’est le sujet de cet article…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">En
fait, le savoir-être, c’est une histoire d’attitude et de comportement. Il ne
s’agit pas d’apprendre par cœur, ou de comprendre totalement un sujet ; il
s’agit de sentir et de réagir. Les savoir-être sont toujours liés à une
interaction.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">L’on
peut alors se demander, depuis que le pays à accéder à l’indépendance, en 1960,
quel comportement ou attitude laissons-nous aux futures générations !...<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-75474612840238696622016-12-22T00:15:00.001-08:002016-12-22T00:15:22.493-08:00Echantionner les rivières, pour lutter contre le changement climatique.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_ZntNClmsr4OQHeziO0REAvP6K9i6bHl_6VFtLZhK_rWsi0KmtwFS-rF5yyx-2FlbgoGt6VsajvB2XbD2pspQPFBebxXV_0HNxqWijo6moGpDrTV9cUpFIkzwSC1bQwqRaFNQwspeTMs/s1600/IMG_20161028_155845.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_ZntNClmsr4OQHeziO0REAvP6K9i6bHl_6VFtLZhK_rWsi0KmtwFS-rF5yyx-2FlbgoGt6VsajvB2XbD2pspQPFBebxXV_0HNxqWijo6moGpDrTV9cUpFIkzwSC1bQwqRaFNQwspeTMs/s320/IMG_20161028_155845.jpg" width="320" /></a></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">En octobre dernier un stage
d’échantionnage a été octroyé à certains jeunes congolais, Alfred Bukuhi et
Jeannot Makalikali, Ces derniers sont dotés d’une mission d’échantionner les
rivières Rutshuru et Rwindi dans le territoire de Rutshuru. Certaines études de
la Banque mondiale et du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution
du climat précisent d’ailleurs que l’eau est au cœur de ces changements…<o:p></o:p></span></b></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiQ9ugwNWI7pFb_lEGkbxg-t3GidOcow_DG2yEqMquSGhBlvv0HuadVu29AyPoxHAj_9b_6JDJtO5YdRE02Dy207L_OW9BJWy4a_-zwTrS5o7G-h4Uv0GsgF8oK5wWdQPRRCzAFti0_sVA/s1600/IMG_20161028_114803_1.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiQ9ugwNWI7pFb_lEGkbxg-t3GidOcow_DG2yEqMquSGhBlvv0HuadVu29AyPoxHAj_9b_6JDJtO5YdRE02Dy207L_OW9BJWy4a_-zwTrS5o7G-h4Uv0GsgF8oK5wWdQPRRCzAFti0_sVA/s320/IMG_20161028_114803_1.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Vue du Queen Elisabeth Park de l'Ouganda</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">En
octobre dernier deux jeunes de la ville de Goma ont assisté à un stage
d’echantionnage des paramètres chimiques en Ouganda précisément dans le Queen
Elisabeth Park. Ce dernier étant le parc national de l’Ouganda. Ces deux jeunes
sont Alfred Bukuhi et Jeannot Makalikali. Ceux-ci ont participé à un monitoring
d’une semaine durant (7 jours) avec les amis de l’Université de KULeuven de
Bruxelles. En effet, ce stage consistait à prélever l’eau des rivières, voir
leurs modifications des régimes de précipitations, leurs températures, leurs
conductivités… Ils ont été doté comme mission d’échantionner les paramètres
chimiques des rivières de la RD Congo notamment ; la rivière Rutshuru et
la RWindi. Toutes ces études sont menées non seulement pour des fins
scientifiques mais plus encore pour lutter contre le réchauffement climatique.
Car l’eau est un élément incontournable pour le réchauffement climatique,
précise le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat dans
un rapport de juin 2008. Alberto Borges, professeur d’université et chargé du
projet confirme par ailleurs que ce dernier pourra durer quatre ans et
recouvrant les rivières Rutshuru et la Rwindi pour la RD Congo et le lac Edouard
pour la partie Ougandaise, et ce, pour contribuer à chercher des solutions sur
les problèmes hydriques. Chaque matin, c’est-à-dire vers 7h30’ heure de
l’Ouganda, toute l’équipe se mobilise pour préparer les matériel de terrain. Alors
qu’au même moment les deux jeunes congolais et deux filles ougandaises (Angela
et Erina), Alfred et Jeannot devraient quitter Kasese, une ville de l’Ouganda,
pour rejoindre l’équipe au camp Lodge où était installé le laboratoire. De là,
deux équipes étaient constituées. L’une pouvait faire le lac Albert et l’autre
sillonnée au travers toutes les rivières menant sur la frontière
congolo-ougandaise. De retour, c’est le labo qui les accueillait à son sein des matériels spécifiques.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Les
impacts du changement climatique se matérialisent majoritairement à travers
l’eau. En effet, les inondations et les sécheresses sévissent de plus en plus
dans un grand nombre de régions du
monde. Ces catastrophes diminuent les rendements agricoles, réduisent la
disponibilité alimentaire à tous les niveaux et les revenus des agriculteurs
provenant de la vente des récoltes. Leurs impacts sur les autres secteurs
peuvent se révéler tout aussi dévastateurs.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Menace de recul,…<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Dans
un nouveau rapport publié par la Banque mondiale, en mai 2016, la raréfaction
de l’eau exacerbée par le changement
climatique pourrait amener certaines régions à accuser un recul du PIB de
l’ordre de 6%, provoquer des migrations et déclencher des conflits. Le rapport
intitulé « High and Dry : Climate Change, Water and the
Economy » indique aussi que faute de mesures immédiates, l’eau deviendra
une ressource rare dans des régions où elle est
abondante aujourd’hui-l ‘Afrique centrale et l’Afrique orientale par
exemple- et cette situation s’aggravera, poursuit le rapport, dans les régions
connaissant déjà des pénuries d’eau, le Moyen Orient et le Sahel par exemple.
Ces régions pourraient voir leur croissance reculer dans des proportions allant
jusqu’à 6% du PIB d’ici 2050, ce en raison de l’impact du manque d’eau sur l’agriculture,
la santé et les revenus. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span style="font-family: "Verdana","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-size: 11.0pt;">Ceux
qui ressentent le plus les impacts de ces changements seront d’abord les
personnes plus vulnérables !<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-48726822035323578472016-08-23T03:20:00.002-07:002016-08-23T03:22:08.692-07:00Beni: Entre solidarité et colère<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEju_ujygoAZYbGbaES2Itn2Va7HswSR41orq1NlsnEIhAvL3BXryMMz1Yxu-v_KpGAvSSjBk4M7jkiEBf1D2wOX5LBcKKXYt2ALV9ZWusY3FVvghDHKw9L5OtBCE_yr39AigM3LeSr-7RY/s1600/CqDp_YqW8AA697l.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="192" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEju_ujygoAZYbGbaES2Itn2Va7HswSR41orq1NlsnEIhAvL3BXryMMz1Yxu-v_KpGAvSSjBk4M7jkiEBf1D2wOX5LBcKKXYt2ALV9ZWusY3FVvghDHKw9L5OtBCE_yr39AigM3LeSr-7RY/s320/CqDp_YqW8AA697l.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Les jeunes de la ville de Butembo parcourant 58Km à pied pour Beni/Credit</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Dans
la nuit du samedi 13 aout à dimanche les quartiers Rwangoma et Mbelu sont
transformés en un abattoir humain. Avec une cinquantaine des personnes
succombées sous machettes, houes…Un chagrin
de surcroit pour la population de Beni. Celui-ci étant une unième tuerie
depuis octobre 2014. Un silence de mort est observé auprès des autorités
politico-administratives pour mettre en déroute ses rebelles bien identifiés.
Ce silence est qualifié de « honteux, de sacrifice… » ; Par
certaines personnalités mondiales.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Elles
sont mortes sous la barbe de la <a href="mailto:abukuhi@gmail.com">MONUSCO</a>
et des <a href="mailto:abukuhi@gmail.com">FARDC</a>, selon la société civile
locale. Un bilan controversé. Par ailleurs, depuis de temps la force onusienne
est qualifiée d’impuissante dans cette région. Mais devant tant de mort l’on pourra se demander
une fois si les élections aient lieu qui ira voter dans cette partie. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Ce
dimanche matin la population de Beni s’est retrouvée dans la rue pour que
justice soit faite. Car trop c’est trop, disent-elles ! <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Deux
ans durant que les massacres ont commencés il n’y a même pas une intervention
des autorités nationales. Est-ce ce silence laisserai qu’on le qualifie d’être
en complicité avec les rebelles des <a href="mailto:abukuhi@gmail.com">ADF/NALU</a>
à qui on attribue tout cela. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Pourtant
à <a href="mailto:abukuhi@gmail.com">l’école de Palo Alto</a> ou école de l’invisible
ayant comme postulat : « Tout est communication ». C’est-à-dire
on ne peut n’est pas communiquer. Celui-ci pourra s’appliquer de fait selon les
circonstances étant donné que depuis deux ans il n’y a aucune intervention
militaire concrète pour mettre en dehors ces rebelles. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Entre
solidarité d’une population vieillie déjà avant l’âge et où sont surtout les
enfants et les femmes qui sont les plus ciblés. La population de Beni ne jure
que par se prendre en charge en mobilisant toutes les forces vives de la
contrée. D’autre part une colère manifestée car depuis deux ans rien n’est
fait. Alors que dans 48h le président Joseph Kabila était e passage dans la
région et aurai promis d’ <i>« imposer »</i> la paix, mais…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Comme
le disait dans son encyclique ‘Fides et Ratio’,le Pape Jean-Paul II de vénéré
mémoire : « C’est dans l’homme intérieur qu’habite la vérité ».
Cette vérité triomphera et cette population longtemps meurtrie en sortira
vainqueur.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<br /></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-63573774023817403472016-06-08T02:07:00.001-07:002016-06-08T02:49:03.650-07:00Goma/NK: Des contraintes à l’accès humanitaire.<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Par
le canal de la coordination des organisations humanitaires (OCHA), les
humanitaires observent ce dernier temps plusieurs contraintes à l’accès
humanitaire. Ceci en vue de mieux assister la population vulnérable. Parmi elle
les déplacés de guerre. Dont 80% sont les femmes et les enfants ayant besoin de
cette assistance en province du Nord-Kivu.<o:p></o:p></span></b></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-YZdqzhGq_mHZiyDdQ2VQJS82PaLa0v1DxNIkt7m2VPyxwV4-BDStBVhxm9W6gtpSCd3vffgH-eRxRuQpxM36GEElisuMR7FJdJgjj77vHdmb2UdirLFvbUtgUIpNFHW3GMhbP6D4E9I/s1600/IMG_2247.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-YZdqzhGq_mHZiyDdQ2VQJS82PaLa0v1DxNIkt7m2VPyxwV4-BDStBVhxm9W6gtpSCd3vffgH-eRxRuQpxM36GEElisuMR7FJdJgjj77vHdmb2UdirLFvbUtgUIpNFHW3GMhbP6D4E9I/s320/IMG_2247.JPG" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Les humanitaires et la presse dans un café de presse/OCHA-Goma</td></tr>
</tbody></table>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<i><span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">« Nous
avons comme objectif d’assister les gens qui sont dans le besoin surtout les plus vulnérables, soit
en éducation ou en santé et autres secteurs de la vie… »,</span></i><span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;"> Lance ce cri de
regret Hazel Kiri, chef de bureau de la coordination humanitaire zone Est dans
un café de presse organisé pour cette fin ce 07 juin dans la salle de conférence de OCHA/Goma. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Globalement les acteurs humanitaires sont de plus en
préoccupés par l’impact négatif que l’insécurité croissante et la forte
dégradation du contexte humanitaire qui freinent l’assistance effective aux besoins
humanitaires. Quelques 1,6 millions de personnes vulnérables ont besoin à
l’assistance humanitaire. Y compris 78 000 personnes déplacées dont 80% sont
des femmes et enfants. Cette insécurité est observée dans la province du
Nord-Kivu et créée une montée des violences contre les travailleurs
humanitaires et les organisations humanitaires.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Pour Philippe Martou, chef de bureau du Programme
alimentaire mondiale (PAM) le non-respect
des standards minimums pour la sécurité et l’accès humanitaire a déjà
entrainé des retards et même la suspension de certaines activités humanitaires.
De ce fait, cette non-assistance et ces
attaques contre les humanitaire freinera le développement de la population
vulnérable. Et ceux surtout les déplacés de guerre dont l’accès est devenu
difficile pour leur apporter une assistance. <i>« Nous craignons que si rien n’est fait pour améliorer l’accès
humanitaire cela aura des conséquences graves sur les populations
vulnérables »</i>, poursuit-il .<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Des
contraintes et attaques contre les humanitaires<o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Plusieurs contraintes sont à la base de cette
non-assistance. Pour pallier à ces dernières rappel Hazel Kiri, chef de bureau
de la coordination humanitaire que les medias surtout locaux doivent nous aider
à relayer cela enfin d’avoir accès aux plus vulnérables et leur assister en
vivre, médicaments, vêtements, soins de santé…Parmi ces obstacles nous pouvons
cités : le climat où certains humanitaires ne s’adaptent pas facilement,
la pluie qui cause des dégâts sur les routes et la plus grande contrainte étant
l’insécurité grandissante en province. Même avis partagé par Mickaël Amar, porte-parole du forum ou panel
des organisations humanitaires qui ajoute que les attaques contre les
humanitaires sont inadmissibles et doivent être condamnés au plus haut niveau. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Rappelons par ailleurs que depuis 2015, il s’observe une
augmentation grandissante des attaques contre les humanitaires. Par exemple,
pour la seule province du Nord-Kivu, 31 travailleurs humanitaires dont deux
internationaux ont été enlevés, soit cinq fois plus qu’en 2014. En 2016, 11
travailleurs humanitaires ont été enlevés. Notons enfin que ce 6 mai dernier un
travailleur humanitaire Roger Muteba, un avocat de Heal Africa est succombée
sous le feu de groupes armés sur la route entre Mweso et Kitchanga dans le
territoire de Masisi. Cette mort à choquée la communauté humanitaire. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<b><span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Du mandat
des travailleurs humanitaires <o:p></o:p></span></b></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">En plus d’exposer sur la problématique de l’accès à
l’humanitaire des questions ont été les bienvenues de la part de la presse présente
au café de presse. S’agissant des actions en assistance, les journalistes
présents ont voulu savoir si une fois la guerre est terminé au Nord-Kivu quel
sort sera réservé aux humanitaires ? Ce fut une question qui a intéressée toute personne présente au café de
presse. D’entrée de jeu Phillipe Martou, chef de bureau de PAM réagit de bon
augure en tapant le poing sur la table qu’à part le volet assistance, en cas de
non guerre nous nous focaliserons davantage sur le volet développement. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Pourtant dans le secteur humanitaire, l’action
humanitaire vient soulager une difficulté et non apporter une solution. Il y a
aussi le gouvernement local qui doit s’y impliquer par son ministère des
affaires sociales afin d’étayer les difficultés à l’assistance humanitaire
surtout ceux des déplacés de guerre.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%;">Malgré le climat politique actuel de la RD Congo, la communauté
humanitaire tient à rappeler à tous les acteurs concernés l’importance de
prendre des engagements fermes pour sauvegarder le droit de donner et de
recevoir l’assistance humanitaire.<o:p></o:p></span></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6367122621033600485.post-72089405634767332102016-05-16T05:22:00.002-07:002016-05-16T05:58:08.485-07:00Edito: Le chagrin des habitants de Beni<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj0ZU76nntfKe-xFlEWN2XLMpTPvp1t51IAvYx-nJceRzkaP78_tqLixOEl2szp-WPRnApnoKchLrlVY8_ZbOnuUWPldUOlpZ8p3EyOcWSlUBq9NeFbmilDOZ2IkgMedO9Spn3SUE8mHco/s1600/beni+terrotoire.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj0ZU76nntfKe-xFlEWN2XLMpTPvp1t51IAvYx-nJceRzkaP78_tqLixOEl2szp-WPRnApnoKchLrlVY8_ZbOnuUWPldUOlpZ8p3EyOcWSlUBq9NeFbmilDOZ2IkgMedO9Spn3SUE8mHco/s320/beni+terrotoire.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le gouverneur Julien Paluku à Beni territoire </td></tr>
</tbody></table>
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 150%;">Chez les hommes politiques, la mode est à l’examen de conscience. Peut-être
faudrait-il que les journalistes s’y livrent plus souvent, eux aussi. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 150%;">En
novembre 2014 alors que des milliers des morts sous silence sont observés sous
le drapeau national en territoire de Beni dans le grand nord de la province du
Nord-Kivu. Quelques temps après la situation s’est rétablie. Mais, en effet, le
remaniement a été observé au sein des Forces armées de la RD Congo main en
vain. Un an après, le chagrin est de retour. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 150%;">Plus de six millions de personnes (dont la moitié des enfants de moins de
5ans) ont été massacrées avec l’appui des
grands de ce monde.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 150%;">Des femmes et des filles ont été violées et mutilées par les armées
d’occupation. D’autres coupées moyennant des manchettes. Comme si une vie
humaine n’a pas de sens d’être vécu.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 150%;">La réponse à ce chagrin est simple. Elle réside dans le professionnalisme
de journaliste surtout ceux de la contrée ayant une fonction sociale qui,
consiste à vérifier les faits et à les exprimer de manière loyale et
responsable, en mettant en priorité l’explication plutôt que la passion et les
émotions en se contentant de compter les morts.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 150%;">En plus de quoi, le renforcement des
professionnelles des personnes travaillant dans les médias est
d’envergure. Les journalistes comme les directeurs, par une formation
académique et professionnelle et par le développement d’associations
professionnelles, est lui aussi capital.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="line-height: 150%; margin-bottom: .0001pt; margin-bottom: 0in; text-align: justify;">
<span lang="FR" style="font-family: "verdana" , "sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 150%;">Le chagrin des habitants de Beni sera transformé en joie par la qualité de
travail produit par les journalistes non seulement de la région de Beni mais de
toute la République. Le chemin de l’avenir pour ces habitants reste à tracer.<o:p></o:p></span></div>
Alfred Bukuhihttp://www.blogger.com/profile/10274543088977533308noreply@blogger.com0